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Crème brûlée

Découvrez une nouvelle recette de ce dessert que l’on aime tant : la crème brûlée !

Ici @simply.morane vous propose une version où le sucre est remplacé par un édulcorant spécial pour pâtisserie. Par-dessus la crème un peu d’édulcorant au tagatose que l’on va « brûler » pour obtenir cette couche de « caramel » craquant.

Ingrédients (pour 6 petits verres)

  • 250 ml de crème 35% 
  • 150 ml de lait 
  • 4 jaunes d’œufs
  • 40 g d’édulcorant pour pâtisserie
  • 1/2 gousse de vanille ou 1 càs d’extrait de vanille de qualité avec grains de vanille 
  • un peu d’édulcorant en poudre au tagatose pour la couche de « caramel » (1 c. à café par verre)

Est-il possible de caraméliser des noix sans sucre ?

Préparation: 

  • Faire chauffer la crème avec le lait, la gousse de vanille et les grains (fendre la gousse en deux pour en extraire les grains).
  • Dans un bol, mélanger les jaunes d’œufs avec l’édulcorant.
  • Verser le lait chaud par-dessus en filet et fouetter/mélanger la préparation en même temps.
  • Verser dans des petits ramequins.
  • Cuire au bain-marie 50 min/1h dans un four préchauffé à 130°.
  • Laisser refroidir les crèmes et les mettre au frigo pendant 3-4h.
  • Sortir les crèmes, ajouter un peu de poudre au tagatose par-dessus et brûler à l’aide d’un chalumeau pour faire caraméliser
    (option sans chalumeau : sous le grill du four, mais bien surveiller).

Valeur énergétique : 206 kcal par portion

10.5 g de sucre en moins par rapport à une version sucrée

Téléchargez la recette ici!

Miraculine

La miraculine est une glycoprotéine contenue dans une baie tropicale appelée « le fruit miracle », qui a la propriété de transformer la perception du goût acide en goût sucré.

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Madeleines au citron et à la lavande

Notre influenceuse lifestyle An-Katrien a toujours eu un faible pour les ‘Madeleines’. Elle souhaitait toutefois apporter une petite touche de fraicheur et de nouveauté à cette recette bien connue. De quoi la rendre encore plus intéressante !

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Pour boire plus, variez les boissons !

Le fondement premier d’un régime alimentaire sain est une bonne hydratation. Les différents modèles alimentaires, dont la Pyramide Alimentaire, le montrent clairement. Pourtant, le Belge boit trop peu, bien que la palette variée de boissons sans sucres à sa disposition contribue à combler ses besoins journaliers en eau. Or, dans cette catégorie de boissons, les édulcorants jouent un rôle essentiel. Petit aperçu.

Le corps humain est composé de 50 à 70 % d’eau. Qui plus est, l’eau joue plusieurs rôles essentiels pour l’organisme et la santé, notamment en régulant la température corporelle. D’où la place prépondérante qu’occupe l’hydratation dans les différents modèles alimentaires.

Chaque jour, nous perdons 2 à 3 litres d’eau !

Pourquoi est-il recommandé de boire 1,5 litre d’eau chaque jour ? Pour compenser les pertes hydriques ! Notre organisme perd en effet quotidiennement de l’eau par diverses voies, et cela peut aller jusqu’à plusieurs litres par jour. Par exemple :

  • Les reins éliminent entre 1 et 1,5 litre d’eau chaque jour.
  • Nous perdons 300-350 ml d’eau dans les selles.
  • Le reste est perdu au travers de la peau et de la respiration. Cette perte est évaluée à environ 300 à 500 ml par m2 d’épiderme par jour.

Pour conserver leur équilibre hydrique, les adultes doivent donc ingérer 2 à 3 litres d’eau par jour. Il va sans dire que les pertes par évaporation et transpiration dépendent en grande partie des conditions météorologiques et des efforts physiques produits. Faire du sport quand il fait chaud peut entraîner la perte de plusieurs litres d’eau par la peau.

Afin de compenser ces pertes, le corps puise de l’eau dans les aliments et les boissons ingérés. L’apport d’eau quotidien issu de notre alimentation est estimé à 1 à 1,5 litre. Mais il faut en plus boire en suffisance : la quantité recommandée est de 1,5 litre par jour.

Envie de préparer votre boisson hydratante vous-même ? Voici quelques recettes !

Le Belge boit trop peu, mais varier les boissons aide

Le Belge boit trop peu d’eau, tel est le constat de la dernière enquête de consommation alimentaire de 2014. Moins de 30 % de la population boit 1,5 litre de boissons non sucrées par jour. Cela signifie que plus de 5 Belges sur 7 ne boivent pas assez au quotidien. Ce pourcentage varie fortement selon la tranche d’âge (voir graphique).

Les quantités englobent uniquement les boissons non sucrées et non alcoolisées comme l’eau minérale, le café, le thé et les boissons rafraîchissantes light. Bien que l’eau soit à privilégier, il est clair que varier les boissons améliore l’hydratation. Et c’est là que les édulcorants jouent un rôle important.

Bien souvent, la catégorie des boissons sans sucres recourt à des édulcorants pour obtenir la saveur sucrée voulue sans ajouter de sucre. Ces boissons hydratent sans apporter ni glucides, ni calories.

Lisez cet article pour tout savoir sur les édulcorants dans les boissons rafraîchissantes.

En 2014, le Belge buvait en moyenne 1,17 litre d’eau ou de boissons non sucrées par jour :

  • Environ 800 ml d’eau
  • Environ 360 ml de boissons rafraîchissantes light et de boissons chaudes

Quelle est la place des boissons sans sucres ? Quelles sont les recommandations ? Voyez l’infographie !

Hydratez-vous en suffisance, de préférence en buvant de l’eau : tel est le message.

Heureusement, une évolution positive est perceptible : entre 2004 et 2014, la proportion de personnes âgées de 15 à 64 ans qui ne buvaient pas assez a diminué. De nouvelles données actuellement collectées en Belgique montreront, espérons-le, un renforcement de cette tendance. Si vous vous inscrivez à notre newsletter, edulcorants.eu vous tiendra au courant.

Savez-vous que, depuis plusieurs années, la teneur moyenne en sucres des boissons rafraîchissantes diminue ? Alors que l’offre de boissons se diversifie de plus en plus, la teneur en glucides baisse. Et cette baisse devrait se poursuivre dans les années à venir, grâce notamment à l’utilisation d’édulcorants basses calories. Cet article vous en dira plus à ce sujet.

Références :
  • Institut scientifique de santé publique (ISP), Enquête nationale de consommation alimentaire, 2014-2015.
  • Conseil supérieur de la santé (CSS), Recommandations nutritionnelles pour la Belgique, 2016.

Limonade d’hiver à la mandarine

Une bonne limonade maison, c’est toujours un vrai plaisir... Et pas qu’en été! Certainement si vous y ajoutez quelques épices hivernales comme dans cette recette de limonade à la mandarine, gingembre, cannelle et anis étoilé.

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Comment le sucre donne-t-il de la graisse ?

Le sucre, comme tous les autres glucides, est digéré et converti en glucose, seul sucre qui circule dans le sang. Mais pourquoi et comment le sucre se transforme-t-il en graisse ? On vous explique.

Le sucre, les sucres, de quoi parle-t-on ?

Le sucre désigne un sucre bien précis : le saccharose ou sucrose. Mais il y a d’autres sucres, comme le glucose, le fructose, le lactose… Tous n’ont pas le même pouvoir sucrant (c’est-à-dire la même intensité de saveur sucrée), mais tous ont la même valeur énergétique, à savoir qu’ils apportent 4 kcal par gramme. Mais où va cette énergie contenue dans les sucres ? Elle peut prendre plusieurs voies…

Que deviennent les sucres dans le corps ?

Les sucres, tout comme les autres glucides tels que l’amidon des féculents, doivent tous être transformés en sucres simples pour franchir la barrière intestinale. À l’issue de la digestion, il y a donc essentiellement du glucose, ainsi qu’un peu de fructose, et éventuellement du galactose si l’on a consommé du lactose (sucre du lait). Fructose et galactose vont être transformés par le foie en glucose, qui est le seul sucre circulant dans le sang, et un carburant majeur pour les muscles et le cerveau. Mais ce carburant n’est utilisé que s’il y a un besoin d’énergie… Sinon il est mis en réserve.

A lire aussi : Goût sucré, goût pour le sucre, quelle différence ?

Pourquoi l’organisme fait-il du gras avec le sucre ?

Après avoir consommé n’importe quel glucide (du sucré, des féculents…), le taux de glucose dans le sang augmente. Une petite partie de ce glucose est utilisée pour répondre aux besoins immédiats en énergie (l’organisme consomme de l’énergie 24 heures sur 24, même en dormant !). Le corps va utiliser de plus grandes quantités de glucose lors d’une activité physique. Mais tout ce qui n’est pas utilisé dans l’immédiat va être mis en réserve.

L’organisme dispose de deux types de réserve créées à partir du glucose :

  1. Le sucre est transformé en un glucide complexe, le glycogène, qui va être stocké dans le foie et dans les muscles. Le glycogène pourra rapidement est transformé à nouveau en glucose, ce qui est le cas pendant le jeûne nocturne ainsi que lors d’une activité physique.
  2. Le sucre est transformé en graisse au niveau du foie. Cette graisse sera stockée en partie dans le foie ainsi que dans les cellules graisseuses (appelées adipocytes). Celles-ci constituent une réserve énergétique très efficace puisque l’organisme peut stocker 9 kcal pour 1 gramme de graisses, contre seulement 4 kcal pour 1 gramme de glycogène. Cependant, cette réserve est plus difficile à mobiliser que l’énergie stockée sous forme de glycogène.

Il n’y a donc pas que les graisses qui contribuent à l’excès de poids et à l’obésité : une consommation excessive de sucre et d’autres glucides peut aussi y contribuer.

A lire aussi : connaissez-vous les « kilos émotionnels » ?

Le sucre empêche l’utilisation des graisses

Les réserves de graisse ne sont mobilisées qu’en cas de besoin. C’est d’abord le glycogène qui est utilisé, et qui permet de couvrir les besoins équivalents à une nuit de sommeil, ou environ 1 heure d’activité physique. Les graisses ne sont utilisées que lorsque les réserves de glycogènes ont sensiblement diminué.

  • Si vous pratiquez du sport avec pour objectif de faire fondre les graisses pour perdre du poids, évitez de consommer du sucre (sous quelque forme que ce soit) pendant votre activité, car tant que l’organisme reçoit du sucre (dont de n’énergie), il l’utilisera préférentiellement pour alimenter l’effort, et n’ira donc pas puiser dans les réserves graisseuses.

Les édulcorants basses calories ne contiennent pas ou très peu de calories, ils ne sont dès lors pas utilisés comme source d’énergie, et ne peuvent pas être transformés en graisse.

A lire aussi : Quelle place pour les édulcorants dans le sport ?

Découvrez ici notre infographie à télécharger!

Dans quelle mesure les édulcorants basses calories sont-ils vraiment sûrs ?

Les édulcorants basses calories comme la stevia, le sucralose et l’aspartame entrent dans la composition de nombreux produits et peuvent également être utilisés pour préparer des plats maison. De nombreuses informations alarmantes circulent toutefois à leur sujet. Savez-vous que tous les édulcorants sont contrôlés et font l’objet d’études avant d’être commercialisés ? Penchons-nous sur ce processus.

Les édulcorants font parler d’eux depuis très longtemps et ont autant de partisans que de détracteurs. Sont-ils dangereux pour la santé ? Sont-ils cancérigènes ou favorisent-ils l’obésité ? Les études scientifiques existantes démontrent que ces allégations ne sont pas fondées. Les édulcorants basses calories peuvent être utilisés en toute sécurité tant que leur DJA (dose journalière admissible) n’est pas dépassée. Les édulcorants n’apparaissent pas dans nos rayons par magie. La détermination de chaque DJA fait partie d’une longue procédure qui précède leur mise sur le marché.

Tous les édulcorants basses calories présents sur le marché sont sûrs

Tous les nouveaux additifs alimentaires font l’objet d’analyses approfondies avant d’être commercialisés. Ils ne sont autorisés que lorsque des preuves en nombre suffisant attestent de leur innocuité. Pour être approuvés, ils sont tout d’abord soumis à des analyses scientifiques chapeautées par des instances nationales et internationales indépendantes.

Dans l’Union européenne, l’évaluation scientifique des édulcorants relève de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), qui analyse chaque édulcorant en réalisant un certain nombre d’études scientifiques, parfois jusqu’à des centaines. Ces études doivent répondre à diverses exigences de qualité et pouvoir être réitérées à maintes reprises par différents scientifiques. Ce long et minutieux processus d’autorisation peut prendre des années.

Le Comité mixte d’experts sur les additifs alimentaires (Joint Expert Committee on Food Additives ou JECFA) de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) étudient eux aussi les divers édulcorants.

Quel édulcorant vaut-il mieux choisir ?

Édulcorants pour préparations chaudes

Édulcorants à effet décoratif  

La sécurité est une question de quantité

Toutes les substances et tous les ingrédients, aussi naturels soient-ils, peuvent se révéler dangereux à partir d’une certaine quantité. Prenez par exemple le fer minéral, indispensable pour rester en bonne santé et pourtant nocif pour le corps humain s’il est absorbé en quantités extrêmes. De telles quantités toxiques ne sont cependant que rarement voire jamais observées, encore moins dans un régime alimentaire varié et équilibré. Une personne pesant 60 kg devrait ingérer plus de 600 mg de fer par jour, ce qui équivaut par exemple à 40 kg d’entrecôte de bœuf ou 8,6 kg de foie de bœuf en un seul jour.

Pour chaque édulcorant basses calories, on détermine la quantité pouvant être journellement – et tout au long de sa vie – absorbée par l’être humain en toute sécurité. C’est ce qu’on appelle la dose journalière admissible ou DJA. Ce seuil porte donc sur une consommation journalière et tout au long de la vie, et non pas une prise unique. Cette valeur est utilisée à l’échelle mondiale et exprimée en milligrammes par kilogramme de poids corporel. Plus celui-ci est élevé, plus le seuil maximal de consommation sûre est élevé. Une étude belge relative à la consommation d’édulcorants a montré que celle des adultes demeurait nettement sous le seuil de la DJA, même en cas de consommation fréquente de produits allégés1.

Une infographie pour tout savoir sur la DJA! A télécharger!

Respectez-vous la DJA ? Faites le test !

La consommation d’édulcorants comporte-t-elle des avantages ?

On pourrait se demander pourquoi les édulcorants basses calories sont utilisés. La réponse est simple : les édulcorants basses calories comportent des avantages pour la santé. D’ailleurs, saviez-vous qu’il fallait systématiquement prouver l’utilité avérée de chaque additif dans le cadre du processus d’autorisation susmentionné ? L’avantage des édulcorants basses calories est évident : ils ont une saveur sucrée, mais ne contiennent pas de sucre, raison pour laquelle ils sont souvent utilisés en remplacement (partiel) du sucre dans les recettes et denrées alimentaires.

  • Les édulcorants contribuent au maintien d’un poids corporel sain.
  • Les édulcorants n’endommagent pas les dents et contribuent au maintien de la minéralisation des dents.
  • Les édulcorants n’ont aucune influence sur le taux de sucre, aussi appelé glycémie, ce qui signifie qu’ils peuvent être consommés en toute sécurité par les diabétiques.

On dit parfois que les édulcorants naturels sont meilleurs que les édulcorants artificiels. Est-ce vrai ?

(1) Institut scientifique de santé publique (ISP), enquête belge sur la consommation d’édulcorants, décembre 2010.

Thé d’hiver au rooibos

Découvrez cette infusion hivernale par excellence à base de rooibos. Elle vous surprendra par son goût fruité, vif et épicé et sans aucune amertume grâce à une jolie combinaison de pomme, orange et gingembre. Elle fera l’unanimité auprès des petits comme des grands.

Ingrédients (pour 4 personnes) 

  • 1 litre d’eau 
  • 2 sachets de thé au rooibos 
  • 1 pomme 
  • 1 orange 
  • 1 petite pointe de gingembre 
  • 1 bâton de cannelle 
  • 1 c. à s. d’édulcorant à base de tagatose (à la place de 2 c. à s. de sucre cristallisé) 
  • 1 fleur d’anis étoilé 
  • ½ c. à c. d’extrait de vanille ou la moitié d’une gousse de vanille 

Le tagatose est-il obtenu à partir du thé ou du lait ?

Préparation: 

  • Prendre un poêlon et y mettre le litre d’eau.
  • Laver la pomme, le gingembre et l’orange et les couper en fines tranches (laisser la peau). 
  • Mettre les morceaux de pomme, de gingembre et d’orange ainsi que les deux sachets de thé dans l’eau. Ajouter le bâtonnet de cannelle, l’anis étoilé et l’édulcorant à base de tagatose et porter lentement à ébullition. 
  • Faire bouillir 5 minutes et retirer les sachets de thé. Laisser cuire doucement les autres ingrédients encore 10 à 15 minutes. 
  • Retirer ensuite le poêlon du feu et ajouter la vanille. Bien mélanger. 
  • Passer au chinois avant de répartir dans les verres. 

Valeur énergétique : 10 kcal par portion

10 g de sucre en moins par rapport à une version sucrée

Téléchargez la recette ici!

Gaufres coco mangue

Découvrez en vidéo comment réaliser facilement ces délicieuses gaufres sans sucres ajoutés. Une recette proposée par notre blogueuse culinaire «Everyday Marta»!

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Chocolat chaud épicé

Notre foodie, Kokerellen, propose ici une combinaison de 2 de ses ingrédients préférés en hiver : les épices et le chocolat chaud !

Grâce à l’utilisation de gingembre, cannelle, anis étoilé et clous de girofle, la maison s’emplit en un très peu de temps de cette odeur tellement typique de la fin d’année. Ces épices donnent aussi un petit côté piquant à cette boisson chocolatée. Et pour en rendre le goût encore plus intense, on laissera infuser un petit sachet de thé chai dans le lait.  

Ingrédients (pour 2 personnes) 

  • 500 ml de lait demi-écrémé 
  • 2 c. à s. de poudre de cacao 
  • 2 c. à c. d’édulcorant à base de tagatose 

Pour les épices chai: 

  • 1 sachet de thé chai ET/OU 
  • 20 g de gingembre frais, en fines tranches  
  • 2 bâtons de cannelle 
  • 1 morceau d’anis étoilé 
  • 4 clous de girofle 

Les sucres « tendance »: de quoi s’agit-il exactement ?

Préparation 

  • Verser le lait dans un poêlon avec la poudre de cacao. Ajouter les épices et le gingembre et faire chauffer lentement, à feu doux. 
  • Veiller à ce que le lait ne chauffe pas trop fort et éteindre le feu juste avant ébullition. Au plus longtemps vous laissez chauffer le lait, au plus fort sera le gout des épices. 
  • Ajouter l’édulcorant et remuer jusqu’à ce qu’il soit bien dissout. 
  • Répartir le lait dans les verres, en utilisant un chinois pour récupérer les épices. Décorez éventuellement de chocolat râpé. Bonne dégustation ! 
  • Attention: si vous utilisez un sachet de thé chai, placer le sachet dans le lait avec les épices (ou à la place des épices). Le retirer avant de servir. 

Télécharger la recette!

Gâteau au chocolat et betterave rouge

Voilà un gâteau pas comme les autres que vous propose notre blogueuse culinaire Marta Majewska - The Luscious Joys of Princess Misia! Non seulement il est sans sucres ajoutés, mais la betterave y apporte une touche moelleuse, douce, permettant de limiter l’apport en graisses, sans sacrifier le côté gourmand.

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Financiers à l’orange

Voici une nouvelle recette concoctée par notre bloggeuse et diététicienne Simply Morane : des financiers à l’orange, aux zestes d’orange avec une petite touche festive ! Ils sont parfaits pour accompagner un brunch ou un goûter entre les fêtes. 

On peut aussi les emballer comme un mini cadeau avec une petite branche de romarin 🎁 Sympa pour décorer une jolie table de Noël. 

Ingrédients (pour 7 financiers)  

  • 50 g d’édulcorant pour pâtisserie 
  • 40 g de beurre fondu 
  • 40 g de poudre d’amande 
  • 30 g de farine 
  • 1 blanc d’oeuf  
  • les zestes d’une demi orange 
  • le jus d’une orange 

Dessert: pourquoi utiliser les édulcorants massiques ?

Préparation

  • Préchauffer le four à 180°C 
  • Mélanger tous les ingrédients 
  • Verser la pâte dans un moule à financiers 
  • Enfourner pendant 10 à 12 minutes 
  • Laisser refroidir et garnir selon l’inspiration du moment ! 

Valeur calorique (pour 1 financier) = 98 kcal 

7 à 9 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée) 

Téléchargez la recette ici!

Cookies de Noël sans sucre

Toute la douceur et la chaleur des biscuits de Noël, mais sans le moindre gramme de sucre, c’est ce que nous propose notre blogueuse culinaire Everyday Marta dans cette recette «à croquer» !

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Diabète et diététique : 3 idées reçues

A l’occasion de la Journée Mondiale du Diabète, Hélène Lejeune, Présidente de l’Association francophone de diététiciens UPDLF revient sur 3 erreurs d’interprétation souvent entendues parmi les personnes souffrant de diabète.

Si on va chez le diététicien, c’est uniquement pour suivre un régime.

Le diététicien accompagne chacun, malade ou en bonne santé, désireux d’évoluer vers de bonnes habitudes alimentaires et une alimentation variée, saine, durable, et en adéquation avec ses besoins. L’idée n’est pas de restreindre l’alimentation mais d’avoir une assiette la plus équilibrée possible, qui comble nos besoins, préserve notre santé tout en nous apportant du plaisir.

Lire aussi: alimentation & diabète: fausses croyances

Tant que je ne suis pas diabétique, je peux manger ce que je veux.

Il importe, tout au long de la vie, d’avoir un mode de vie sain, à savoir de bonnes pratiques alimentaires et une activité physique adaptée, de manière à prévenir le risque de développer des maladies dites de civilisation ou non transmissibles médiées par le surpoids et l’obésité (diabète, MCV, certains cancers). En d’autres termes il vaut mieux prévenir que guérir, sans oublier que l’alimentation est le premier pilier de la santé.

Prévenir c’est aussi bouger plus: quelques astuces ici!

Quand on est diabétique, il suffit de supprimer le sucre de son alimentation.

Le diabète est une maladie complexe, qui peut avoir de très graves conséquences sur l’organisme et creuser le lit de nombreuses autres pathologies.

Les recommandations nutritionnelles pour les diabétiques portent sur la consommation tant quantitative que qualificative en sucres, en graisses,  en fibres (par le biais de fruits, légumes, céréales complètes, graines et fruits à coque, légumineuses).  Elles visent à réduire la consommation d’aliments trop gras, trop sucrés, trop salés, ou ultra-transformés. Elles peuvent être adoptées par tout un chacun.

N’hésitez pas à faire appel à un.e diététicien.ne

Pour toute autre information: UPDLF.

L’exercice physique est le meilleur des «médicaments», qu’on soit atteint de diabète ou non. Pourquoi ?

Le 14 novembre c’est la Journée mondiale du diabète. Ce jour-là est placé sous le signe de la sensibilisation à cette pathologie. Une sensibilisation bien nécessaire, car de nombreux diabétiques hésitent encore à parler de leur maladie.

Nous allons aujourd’hui nous intéresser de plus près au diabète et à la place de l’exercice physique dans son traitement. L’exercice physique est en effet la clé d’une glycémie stable et d’une vie en meilleure santé, qu’on soit atteint ou non de diabète. Les astuces de Charlotte Pots, coach lifestyle en diabète.

L’exercice physique améliore le sommeil, aide à chasser les idées noires, augmente le métabolisme, diminue le risque de maladies cardiovasculaires… et améliore la sensibilité à l’insuline1. Un avantage crucial pour les personnes atteintes de diabète, mais aussi pour toute personne avec un mode de vie sédentaire et une alimentation occidentale, ou sucres et graisses jouent un rôle central. Pour assimiler ces quantités importantes de glucides et de lipides, notre corps est mis à rude épreuve. Et c’est bien là le problème, car cette « charge de travail élevée » finit par épuiser notre organisme. Par ailleurs, des apports caloriques élevés (dus à cette alimentation trop riche en sucre et en graisse) risquent de mener au surpoids, surtout en cas de sédentarité et lorsqu’on est assis la plupart du temps. Autant de facteurs identifiés comme favorisant l’apparition d’une résistance à l’insuline et du diabète.  

Equilibrer son alimentation est un élément important mais pas que

L’exercice physique est également important. Lorsqu’on bouge, les muscles consomment en effet du glucose. Et trente minutes d’exercice par jour suffisent pour un impact positif sur la santé, qu’on soit diabétique ou non !

Envoyez balader vos excuses

Que faire si le sport et vous ça fait deux ? Un premier conseil est de ne pas placer la barre trop haut : nul besoin de s’entraîner en vue d’un marathon pour profiter des bienfaits de l’exercice physique ou du sport sur la santé. Faire du shopping ou faire le ménage peut être profitable à l’organisme, à condition d’y passer un certain temps. Aucun sport ne vous tente vraiment ? Sortez de votre zone de confort et essayez une activité nouvelle. Vous avez peut-être le fitness et le jogging en horreur, mais qui dit que vous n’allez pas vous éclater avec des cours de salsa ? Les maux de dos ne sont pas une excuse. La natation, par exemple, est une activité sportive douce pour votre corps, même en cas de douleurs. Mettez-vous au sport progressivement, en vous fixant des objectifs faisables, et n’oubliez pas que les difficultés du début seront vite oubliées. Vous serez un peu courbaturé les premières semaines, mais une fois que vos muscles auront pris l’habitude de votre nouvelle routine, vous en constaterez les effets positifs sur votre santé. Le sport augmente la sécrétion de sérotonine, l’hormone du bonheur, redessine lentement, mais sûrement la silhouette et booste la confiance en soi. Parions que vous ne pourrez bientôt plus vous en passer !

Choisissez le sport qui vous convient

Il y a forcément un sport qui vous plaît. Dans tous les cas, choisissez une activité physique adaptée à votre style de vie. Il vous sera plus facile de conserver vos nouvelles bonnes habitudes « santé ». 

Vous aimez le sport mais vous n’avez pas une minute à vous ?

Beaucoup de gens ne donnent pas du tout la priorité à leur santé, ni à leurs besoins et envies. Mauvaise pioche : ces petits moments à soi sont aussi importants que les obligations familiales, professionnelles et sociales. Voire plus indispensables encore, surtout si l’on souffre d’une maladie chronique. Alors, plus d’excuses : reprenez votre santé en main et renouez avec la pratique sportive. Choisissez une activité qui vous donne de l’énergie : course, natation, tennis ou musculation : foncez !

  • Réservez au sport des plages fixes pendant la semaine.
  • Bouger ou faire de l’exercice 3 fois 10 minutes par jour est déjà un bon début.
  • Faites par exemple des squats ou d’autres exercices pendant que le repas est au four.
  • Pratiquez du sport pendant les activités extrascolaires de vos enfants.
  • Profitez du ménage pour vous dépenser physiquement en écoutant de la musique.
  • Utilisez les pauses pub à la télé pour bouger un peu …

Vous avez un mode de vie sédentaire et êtes souvent assis ?

La sédentarité a remplacé le tabagisme au rang des mauvaises habitudes. Il est temps de s’y attaquer. Vous ne savez pas très bien comment ? Bouger davantage est plus facile que vous ne l’imaginez. La marche est un exercice physique, même si on a tendance à l’oublier. Qui plus est, c’est une activité gratuite qui peut se pratiquer n’importe où et qui dope la santé. Quelques astuces :  

  • Sortez vous dégourdir les jambes après le petit-déjeuner. Faites de même après le diner.  
  • Marchez ou bougez quand vous téléphonez.
  • Prenez les escaliers dès que possible.
  • Profitez de vos courses au supermarché pour augmenter votre nombre de pas.
  • Au travail, alternez entre position assise et position debout.
  • Investissez dans une montre intelligente ou une appli avec fonction de podomètre. Se voir progresser est toujours très motivant.

Vous bougez déjà régulièrement ?

Bravo, continuez ! Fixez-vous de nouveaux objectifs pour garder votre motivation intacte. Le fitness, ça vous tente ? Pourquoi ne pas vous lancer dans un défi de 8 ou 12 semaines ? Vous serez surpris de voir comment vous allez gagner en puissance et en endurance ! Lors de votre promenade quotidienne, choisissez un parcours avec des dénivelés. Vous solliciterez davantage votre organisme qui ne s’en portera que mieux et vous profiterez par la même occasion d’une vue superbe. Se dépenser physiquement en étant en contact avec la nature fait des merveilles pour votre santé physique et mentale. Alors, qu’attendez-vous pour vous y mettre ?!

Vous êtes diabétique ?

Saviez-vous que la marche est une activité physique particulièrement profitable pour les personnes atteintes de diabète ? Un article publié dans le Journal of the American College of Nutrition revient sur une étude qui montre qu’un quart d’heure de marche, avant et/ou après le repas, fait des merveilles sur la glycémie. Les jours où ils marchaient, les participants présentaient après le petit-déjeuner un pic glycémique inférieur de 36 % à celui enregistré lors des jours où ils étaient tout à fait sédentaires. La durée du pic glycémique était également moindre (47 %). Une étude réalisée par la Diabetes Hands Foundation a par ailleurs montré qu’une minute de marche rapide fait baisser la glycémie de 1 mg/dl2.  Marcher d’un bon pas pendant une demi-heure diminuerait donc le taux de sucre dans le sang, de 160 à 130 mg/dl.

Et ce n’est pas tout : plus l’on bouge, mieux l’organisme parvient à contrôler le taux de glucose sanguin. Une excellente raison d’inclure l’exercice physique dans sa routine quotidienne.

Vous travaillez assis ? Changez votre mindset et vous arriverez à bouger davantage, même les jours où vous avez beaucoup de travail. Garer votre voiture un peu plus loin vous obligera déjà à marcher un minimum avant et après le travail. Vous avez la possibilité de mettre le nez dehors lors de votre pause de midi ? N’hésitez pas. Et si une réunion est prévue, pourquoi ne pas abandonner la salle de réunion pour aller discuter dehors ? Rien de tel pour stimuler la créativité ! Les employeurs investissent de plus en plus dans les bureaux debout, les bureaux-vélo et les bureaux actifs. Ce n’est pas encore le cas dans votre entreprise ? Mettez le sujet sur la table ! Les télétravailleurs font déjà preuve de beaucoup de créativité pour s’aménager un bureau intelligent et dynamique. Ensemble, toutes ces petites astuces pour bouger plus vous aideront à vivre plus longtemps en bonne santé. Et heureux. 
Références

Alimentation et diabète : fausses croyances

Le virus des fausses croyances dans le domaine de l’alimentation circule allègrement, forgeant bon nombre d’idées reçues. Le point sur 5 d’entre elles avec l’Association du Diabète et la Diabetes Liga.

« Si les idées reçues sur l’alimentation ont toujours existé, elles n’ont jamais circulé avec autant de facilité, notamment avec les réseaux sociaux. Et le sucré, la glycémie et le diabète n’y échappent pas, loin de là ! Les diététiciens sont les mieux placés pour corriger le tir ». Dominique Antoine, Diététicienne, Responsable du Conseil Diététique de l’Association du Diabète.

La patate douce est bien meilleure pour les personnes diabétiques que la pomme de terre

D.A. La patate douce s’est imposée comme un aliment tendance, qui serait bien meilleur que la pomme de terre. Sa belle couleur orangée, qui y est probablement pour quelque chose, est due à la présence d’un pigment précurseur de la vitamine A : le bêtacarotène, qui est aussi un antioxydant, et c’est positif. La pomme de terre, elle, n’est pas une source de bêtacarotène, mais elle contient plus de vitamine C que la patate douce. Mais ce qui importe le plus, c’est que la teneur en glucides de ces deux féculents est comparable : 15 g/100 g pour la pomme de terre, 14 g/100 g pour la patate douce. Et si la patate douce revendique un index glycémique plus faible, son intérêt doit être relativisé dans la mesure où les deux féculents ne sont généralement pas consommés seuls, mais associés à d’autres aliments lors d’un repas (des sources de protéines, de graisses, de fibres…) qui vont lisser les différences d’index glycémique. Pour l’un comme l’autre, c’est donc surtout la quantité consommée qui va influencer la glycémie.

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Tous les produits allégés sont conseillés pour la personne diabétique

D.A. Un aliment ou une boisson peut utiliser la mention « allégé », « light », « réduit en » si sa valeur énergétique ou un des composants nutritionnels (sucres, matières grasses, alcool) a été réduite d’au moins 30% ( 25% pour le sel) par rapport à un produit équivalent non allégé. De nombreux aliments annoncés « réduits en » ou « sans sucres » présentent parfois une teneur plus importante en matières grasses que l’équivalent ordinaire. Il est dès lors important de lire les étiquettes. Certains aliments light sont intéressants à consommer pour limiter l’apport en certains nutriments (matières grasses et/ou sucres). C’est le cas des fromages allégés/light, des boissons light/zero, des confitures allégées en sucres, sauces et dressings light,…

A lire aussi : Quelle différence y a-t-il entre «sans sucres» et «sans sucres ajoutés» ?

Le chocolat noir est « meilleur » pour les personnes diabétiques que le chocolat au lait

D.A. Croire qu’il vaut mieux consommer un chocolat noir ou fondant est faux, parce que même s’il contient moins de sucres, plus un chocolat est riche en cacao, plus il est gras, donc encore plus riche en calories ! Bien que sucrés, les différents chocolats n’élèvent que peu et lentement la glycémie. Mais leur apport calorique élevé justifie que ces douceurs soient consommées avec parcimonie.

Le diabète est une maladie qui reste trop peu connue, bien qu’elle nous semble familière. Testez vos connaissances avec le quiz de l’Association du Diabète

“1 adulte belge sur 10 souffre de diabète à l’heure actuelle. Mais 1 personne sur 3 ne le sait pas. Prévention et diagnostic précoce s’imposent vraiment. Nous appelons tous les 45+ à calculer leur risque de développer du diabète de type 2 via le “Gezondheidskompas”. Savoir rapidement qu’on est à risque ou qu’on souffre déjà de diabète de type 2 permet un meilleur suivi et, par là même, de gagner quelques années en bonne santé”. Diabetes Liga.

Est-il indiqué, en tant que diabétique, de suivre un régime cétogène?

D.L. Un régime cétogène est basé sur une adaptation de l’alimentation  comprenant beaucoup de contraintes et de risques. Les glucides y sont limités à 50 g par jour maximum, ce qui peut provoquer potentiellement un déficit en vitamines et minéraux. Un régime cétogène n’est donc certainement pas un régime standard à proposer à toutes les personnes qui souffrent de diabète. A court terme, ce type de régime peut aider des diabétiques dans le cadre d’une perte de poids. Ensuite, une transition graduelle vers une alimentation saine sous la supervision d’un(e) diététicien(ne) est importante pour maintenir la perte de poids à long terme. Un régime cétogène n’est dans ce cadre par facile à mettre en oeuvre et à tenir.

Le diabète s’attrape uniquement lorsqu’on mange trop sucré

D.L. Le diabète de type 2 est une maladie complexe dont le développement peut être favorisé par plusieurs facteurs. Le manque d’activité physique, la vie sédentaire et une alimentation déséquilibrée sont, par exemple, des facteurs qui peuvent favoriser  l’apparition du diabète de type 2, en dehors de l’âge et de l’hérédité auxquels on ne peut malheureusement rien changer. Miser sur la seule diminution des apports en sucre n’est donc certainement pas suffisant. 

Le poids corporel augmente lorsque les apports caloriques sont supérieurs aux dépenses d’énergie, ce qui peut être le cas lorsque l’alimentation est riche en sucre, mais aussi en lipides ou en glucides. On constate souvent, chez les personnes diabétiques, la combinaison de plusieurs facteurs de risques : le mode de vie occidental combine une alimentation déséquilibrée, trop riche en lipides et en sucres et une activité physique insuffisante.  Ces facteurs peuvent entrainer un surpoids et une obésité, ce qui augmenter le risque de diabète. Saviez-vous que votre tour de taille est un facteur de risque plus important pour le développement du diabète que votre indice de masse corporelle (ou BMI) en soit? Car la graisse s’accumule autour des organes.

On peut aussi être diabétique sans le savoir!

D.L. Un Belge sur trois ne sait pas (encore) qu’il est atteint de diabète ! C’est un chiffre très élevé, car en Belgique, 1,14 million de personnes auraient un diabète de type 2. Cela signifie que 400 000 ignorent leur diabète. C’est ce qu’a mis en évidence une analyse de la Diabetes Liga vzw sur la base des derniers chiffres disponibles de Sciensano.

Comment prévenir le diabète ? Regardez cette vidéo pour le savoir !

 « Le saviez-vous ? Le diabète, et surtout le diabète de type 2 est l’un des problèmes de santé publique de plus en plus préoccupants dans le monde, comme l’indique l’International Diabetes Federation. C’est une maladie sournoise qui peut passer inaperçue. À partir de 45 ans, il est donc recommandé de passer en revue les facteurs de risques, comme le poids et l’activité physique quotidienne. Évaluez votre propre risque de diabète en moins de 5 minutes grâce à la « Gezondheidskompas » (boussole de la santé) de la région flamande. Diabetes Liga.

Confiture d'agrumes

C’est le temps des confitures ! Laissez-vous tenter par cette version plus légère de notre bloggeuse culinaire, Everday Marta : elle est sans sucres ajoutés, mais tout aussi savoureuse !

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Mousse au chocolat noir et flan coco

A la recherche d’un dessert qui ne laissera personne indifférent? Cette mousse de chocolat noir accompagnée d’un flan au lait de coco et de grenade est un festival pour les yeux et … le palais. Et pratiquement sans sucres ajoutés qui plus est! 100% plaisir, sans culpabilité.


Bonne nouvelle pour les accros au chocolat ! Notre coach lifestyle en diabète, Charlotte Pots, a mis au point une irrésistible mousse au chocolat accompagnée de son flan au lait de coco. Et cerise sur le gâteau : le sucre est remplacé par de la stevia. Et que les plus nuls d’entre nous se rassurent car pas besoin d’être un as des fourneaux pour réussir cette recette! Résultat garanti d’office!

Ingrédients (pour 8 portions)

  • 300 g de chocolat fondant
  • 150 g de blanc d’oeufs (ou le blanc de 5 œufs)
  • 50 g de crème de coco
  • 2 dl lait de coco
  • 50 g de jus d’orange
  • 20 g de stevia
  • 6 g de feuilles de gélatine
  • Grains de grenade

Dessert: pourquoi on lui trouve toujours une petite place ?

Préparation

Mousse au chocolat

  • Faire fondre doucement le chocolat (au bain-marie).
  • Battre les blancs d’oeufs en neige.
  • Incorporer lentement les blancs d’oeufs en neige au chocolat fondu.
  • Ajouter en remuant doucement la crème de coco.
  • Verser le mélange dans des verres individuels et mettre 3 heures au réfrigérateur.

Flan au lait de coco

  • Tremper les feuilles de gélatine dans de l’eau.
  • Faire chauffer le lait de coco avec le jus d’orange et la stevia. Ajouter les feuilles de gélatine pour les dissoudre.
  • Mettre au réfrigérateur (jusqu’à 40 min.)
  • Répartir le mélange sur les verres de mousse au chocolat et  remettre au réfrigérateur pendant 3 heures.

Décoration

  • Prendre un peu de chocolat fondu et l’étaler finement sur du papier sulfurisé.
  • Mettre 30 minutes au surgélateur.
  • Décorer chaque verre d’un morceau de chocolat et terminer la décoration avec des grains de grenade.

Valeur calorique (pour 1 portion) = 275 kcal 

3 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée) 

Téléchargez la recette ici!


Mousse d'agrumes

Dans cette mousse extra-légère, l’acidité des agrumes est adoucie sans devoir recourir à un sucre ajouté. De surcroît sans matière grasse ajoutée, il n’y a vraiment aucune raison pour se priver de dessert !

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Diabète: quelle place pour la médecine personnalisée?

L’avenir est à la precision medicine (médecine de précision) ou médecine personnalisée ! Elle suscite de plus en plus d’intérêt et ne cesse de faire l’objet de nouvelles études, y compris pour la prise en charge du diabète. La distinction entre le diabète de type 1 et le diabète de type 2 serait-elle dépassée ?


Ne serait-ce pas fantastique de disposer de médicaments ou de traitements personnalisés, parfaitement adaptés à chaque patient ? Celui-ci pourrait ainsi bénéficier d’un traitement administré au moment opportun, qui n’agit que contre sa pathologie et n’entraîne donc aucun effet secondaire. Même si elle n’en est qu’à ses débuts, la recherche sur la médecine personnalisée ou de précision (personalised medecine ou precision medecine en anglais) apparaît d’ores et déjà très prometteuse. Lors de la Journée d’étude sur le diabète de la Vlaamse Beroepsvereniging van Diëtisten (VBVD), organisée en septembre 2022, le Dr Toon Maes (endocrinologue à l’Imelda et à l’UZ Leuven) s’est intéressé à la médecine de précision dans le cadre du traitement du diabète.   

Lisez cet article pour tout savoir sur les idées reçues sur le diabète !

Classement des patients diabétiques : non plus 2, mais 5 clusters

La médecine de précision se compose de trois volets : le diagnostic, le traitement et le pronostic personnalisés. Afin d’affiner le diagnostic du diabète, les auteurs d’une étude ont analysé six variables chez les participants diabétiques : présence ou non d’anticorps anti-GAD, âge au diagnostic, IMC , HbA1c, fonction cellulaire β et résistance à l’insuline. Comme l’a expliqué le Dr Maes, l’étude a permis de mettre en avant 5 profils de patients :   

  • Diabète auto-immun sévère (severe autoimmune diabetes)
  • Diabète insulino-déficient sévère (severe insulin-deficient diabetes)
  • Diabète insulino-résistant sévère (severe insulin-resistant diabetes)
  • Diabète modéré lié à l’obésité (mild obesity-related diabetes)
  • Diabète modéré lié à l’âge (mild age-related diabetes)

Cette étude a clairement montré que de très nombreux patients – principalement ceux identifiés comme appartenant au cluster 2 « diabète insulino-résistant sévère » – ne bénéficient pas toujours d’emblée du traitement le plus approprié. Les patients du cluster 3 présentent quant à eux un risque accru de comorbidités.

Mode de vie et diabète vont souvent de pair. Découvrez l’infographie !

La médecine de précision, c’est l’avenir

Jusqu’à présent, le choix du traitement se fait fonction du type de diabète dont le patient est atteint :  diabète de type 1 ou diabète de type 2. Une approche adaptée à chaque patient, basée sur la sous-classification ci-dessus, permettrait non seulement d’obtenir plus rapidement le résultat thérapeutique visé, mais aussi de diminuer le risque de comorbidités.  

L’état actuel des connaissances ne permet pas encore de tirer des conclusions solides. La médecine de précision n’en est encore qu’à ses débuts et d’autres études sont nécessaires. Cette approche de la médecine se heurte en outre à de réels obstacles; la détermination du sous-type nécessite en effet des examens cliniques et biomédicaux et des tests génétiques. Il s’agit clairement d’une approche thérapeutique d’avenir. Toutefois, la personnalisation des soins doit être parfaitement au point avant de pouvoir être utilisée.  

Diabète gestationnel et édulcorants : quelles recommandations pour vos patientes ? 

Diabète & famille

Le diabète concerne toutes les familles: tel est le leitmotiv de la journée mondiale du diabète, organisée le 14 novembre prochain par la Fédération internationale du diabète. Découvrez notre infographie sur le thème "Diabète & famille"!

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7 conseils pour garder le cap quand on a le diabète

Une maladie auto-immune peut être éprouvante et vous épuiser émotionnellement (et physiquement). Comment éviter un burn-out lié au diabète ? En brisant le cercle de la négativité et en profitant de temps en temps avec insouciance des petites choses de la vie : un délicieux repas ou un savoureux mocktail sans sucres ajoutés... 7 conseils supplémentaires de Charlotte Pots, coach en diabète, souffrant elle-même de cette affection.

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