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Sorbet citron au « sucre de bouleau »

Notre bloggeuse @simplymorane nous propose cette recette rafraichissante pour l’été : un sorbet citron au « sucre de bouleau » ou xylitol. La recette est très facile à préparer, avec uniquement 3 ingrédients, et elle est savoureuse !

Ingrédients (pour 400 ml ou 14 boules)

  • le jus de 3 citrons bio + zeste d’1 citron bio
  • 160 g de sucre de bouleau
  • 400 ml d’eau

Qu’est-ce que le xylitol ou sucre de bouleau ?


Préparation

  • Prélever le zeste d’1 citroen et presser ensuite les 3 citrons. Ajouter le « sucre de bouleau » ou xylitol et l’eau et bien mélanger.
  • Verser la préparation bien froide dans la turbine mode sorbet.
  • Après +/- 30 minutes, mettre le sorbet dans un pot, mettre au congélateur 30 minutes à 1 heure avant de déguster.

Valeur calorique = 29 kcal par boule

11 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée) 

Téléchargez la recette ici!

Crêpes ricotta citron aux fraises

Fêtez le printemps avec ces crêpes à la ricotta super délicieuses proposées par Ellen de Kokerellen. Un must de légéreté. La ricotta rend la pate particulièrement douce et donne aux crêpes une saveur proche du beurre qui se combine idéalement avec les zestes de citron et les fraises marinées.

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Detox Juice au citron et gingembre

Voici un super remontant, mais aussi, tout simplement, une délicieuse boisson proposée par notre blogueuse culinaire Marta Majewska - The Luscious Joys of Princess Misia! Avec, de surcroît, pratiquement pas la moindre calorie.

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Tout ce que vous devez savoir sur les polyols

Les polyols sont des édulcorants dits « de charge » ou « massiques ». Ils sont obtenus industriellement, mais ils sont aussi naturellement présents en petites quantités dans de nombreux fruits et légumes, comme les baies de sorbier ou les champignons. Leur pouvoir sucrant diffère entre 0,4 et 1 fois celui du sucre ou saccharose. Ils apportent des calories, mais savez-vous pourquoi ?

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Pâte à tartiner choco noisettes

Bienvenue à Yasmine @tartesyaya ! Notre nouvelle foodie vous propose ici une alternative aux pâtes à tartiner traditionnelles. Sans ajout d’huiles ni de sucres, cette version est une bonne option pour les diabétiques et toutes les personnes qui souhaitent réduire leur consommation de sucres ajoutés. Sans lactose et sans gluten de surcroit ! De quoi faire pleins d’heureux.

Notre plateforme accueille une nouvelle bloggeuse : Yasmine, maman de deux enfants dont un petit garçon diabétique de type 1. Quoi de plus normal pour elle de mettre son amour de la cuisine et de la pâtisserie au service de son fils. Toute l’équipe lui souhaite la bienvenue et est convaincue que ses recettes et astuces seront utiles à toutes les personnes diabétiques ou simplement en recherche d’une alimentation plaisir moins sucrée ! Découvrez sa pâte à tartiner choco noisettes!

Matériel 

  • Hâchoir ou petit blender 
  • Bocal hermétique (ou un ancien pot à confiture) 

Ingrédients  

Pour 180 g ou 7 portions de 2 c. à c.

  • 50 g de noisettes (grillées) sans la peau 
  • 50 g de cacahuètes (grillées) sans la peau 
  • 5 g de poudre de cacao non sucrée 
  • 50 g d’édulcorant liquide (1 : 1) à base d’érythritol 
  • 25 g de lait d’amande non sucré 
  • 1 c. à c. d’extrait de vanille 
  • Une pincée de sel 

Peut-on prendre en dessert en cas de diabète ?

Préparation

  1. Mettre les noisettes et les cacahuètes dans l’appareil utilisé et hâcher finement. Poursuivre l’opération jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. Les graisses sont issues des noix; il est donc important de mixer suffisamment longtemps jusqu’à ce que la pâte obtenue commence à « briller ».
  2. Ajouter ensuite la poudre de cacao et l’édulcorant et mixer jusqu’à incorporation totale des ingrédients. 
  3. Ajouter enfin le lait d’amande, l’extrait de vanille et la pincée de sel. Mixer à nouveau. 
  4. Cette pâte à tartiner se conserve jusqu’à 10 jours au réfrigérateur dans un bocal/pot hermétique.  

Le saviez-vous?

Chaque portion (2 c. à c.) de cette pâte à tartiner choco noisettes contient 7,5 g de graisses, c’est pourquoi la valeur énergétique n’est pas négligeable. Cependant, ces graisses proviennent des noisettes et des cacahuètes dans la recette, des ingrédients qui ont toute leur place dans une alimentation saine et équilibrée et qui apportent principalement des graisses insaturées (dites “bonnes graisses”). Saviez-vous qu’une portion de cette pâte à tartiner choco noisettes apporte uniquement 0,9 g de sucres et ne contient pas de sucres ajoutés ? 

Valeur calorique = 93 kcal par portion

7 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée) 

Téléchargez la recette ici!

En savoir plus sur Yasmine, c’est par ici!

Gâteau au chocolat et betterave rouge

Voilà un gâteau pas comme les autres que vous propose notre blogueuse culinaire Marta Majewska - The Luscious Joys of Princess Misia! Non seulement il est sans sucres ajoutés, mais la betterave y apporte une touche moelleuse, douce, permettant de limiter l’apport en graisses, sans sacrifier le côté gourmand.

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C’est quoi l’Edulcotest ?

Combien de denrées avec des édulcorants puis-je consommer par jour ? Pour le savoir, rien de plus simple, faites l’Educoltest ! Cet outil exclusif donne une vue réelle de votre niveau de sécurité sur base des aliments et boissons que vous consommez chaque jour, en précisant le type et la marque du produit.

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L’OMS publie un rapport sur les édulcorants

L’Organisation Mondiale de la Santé a publié son rapport sur les orientations nutritionnelles à adopter à l’égard des édulcorants face au défi de l’obésité. L’instance estime que les édulcorants ne sont pas la solution.

La consommation excessive de sucres est impliquée dans l’excès de poids et l’obésité, qui touchent près de 40 % de la population adulte dans le monde. En 2015, l’Organisation Mondiale de la Santé a émis des recommandations invitant à limiter la consommation de sucres libres.

Les édulcorants sont couramment utilisés pour réduire les sucres libres dans les denrées tout en permettant de garder la saveur sucrée. Ils contribuent donc à réduire l’apport calorique lié aux sucres qu’ils remplacent, ce qui peut constituer une aide – comme l’ont montré de nombreuses études – pour favoriser le contrôle du poids. Mais est-ce que les édulcorants sont pour autant une solution à long terme pour lutter contre l’obésité ?

C’est précisément ce qu’ont cherché à établir les experts du groupe d’orientation nutritionnelle (NUGAG) de l’OMS, qui fournit des recommandations aux États pour la mise en place de politiques nutritionnelles. Le rapport conclut qu’actuellement, il n’existe pas de preuves convaincantes en faveur des édulcorants en tant que levier pour lutter contre l’obésité à long terme, ou pour prévenir des maladies non transmissibles.

A lire aussi : A quoi correspondent les « sucres libres »?

L’obésité, une maladie multifactorielle

En d’autres termes, l’instance recommande de ne pas compter sur les édulcorants pour lutter contre l’obésité, qui continue à progresser dans le monde. L’obésité est reconnue comme une maladie multifactorielle, et aucun aliment ou ingrédient ne peut être considéré à lui seul comme la cause de l’obésité. Dans le même sens, aucun aliment ou ingrédient, pas plus que les édulcorants basses calories, ne peuvent représenter une solution magique pour lutter contre cette maladie.

Précisons que le rapport de l’OMS ne concerne pas la population des personnes atteintes de diabète, chez qui les édulcorants basses calories peuvent être utiles pour le contrôle de la glycémie.

 A Lire aussi : Obésité : mieux manger pour la prévenir

Les édulcorants basses calories sont sûrs

Le rapport de l’OMS n’a pas non plus pour vocation d’évaluer la sécurité d’utilisation des édulcorants basses calories. Ceci est en effet du ressort d’instances telles le Comité mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA), ou encore, pour l’Union Européenne, l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA). Un édulcorant n’est autorisé dans les denrées alimentaires que s’il est parfaitement sûr. Et c’est pour garantir cette sécurité que l’EFSA détermine la quantité de chaque édulcorant qui peut être consommée pendant toute une vie (c’est la DJA), et précise aussi dans quelles denrées et en quelles quantités chaque édulcorant peut être utilisé. Pour savoir si votre consommation d’édulcorants est sûre, faite l’édulcotest.

Parole d’experts: il faut nuancer !

Trois experts se sont exprimés à propos du rapport de l’OMS sur la VRT (télévision flamande). Ils confirment que les édulcorants ne sont pas un remède miracle. Quand on parle de maladies non transmissibles comme l’obésité et les maladies cardiovasculaires, l’alimentation et le style de vie restent primordiaux. Il ne suffit pas de limiter la consommation de sucres pour résoudre ces pathologies.

 “Nous mangeons trop de sucres depuis des années. Les édulcorants ont été inventés pour contribuer à limiter cette surconsommation. Aujourd’hui, nous savons que les édulcorants sont sûrs mais qu’ils n’induisent pas nécessairement un comportement alimentaire plus sain. C’est la raison pour laquelle certaines pathologies continuent à se développer » Michaël Sels, responsable du service de diététique (UZA Universitair Ziekenhuis Antwerpen).

Par ailleurs, les experts pointent du doigt le comportement des personnes qui consomment des aliments contenant des édulcorants. Ceux-ci peuvent contribuer à limiter l’apport en calories ; mais certains consommateurs compensent ce moindre apport en sucres et calories, par exemple, en en consommant davantage ou en accompagnant ces aliments par d’autres produits riches en sucres et en graisses. Cette surconsommation réduit à néant l’effet des édulcorants.

“Il n’y a pas de lien direct entre l’utilisation d’un substitut du sucre et les risques pour la santé. Nous devons tenir compte d’autres facteurs tels que l’hérédité, l’activité physique, le comportement en matière de tabac ou d’alimentation.” Evelyne Mertens, experte en nutritiion à la KU Leuven

À long terme, il ne suffit pas de remplacer les produits riches en sucres par leurs alternatives sans sucres pour réduire le risque de surcharge pondérale. C’est tout le comportement alimentaire qui doit être adapté.

 “Pour maigrir, il faut ingérer moins de calories. Uniquement substituer les sucres par des édulcorants sans rien changer à son alimentation n’est pas la solution.” Patrick Mullie, expert en nutrition VUB

A lire aussi : Que disent les experts?

Des résultats selon le type d’étude

Le site « Gezondheid en wetenschap » qui analyse régulièrement des informations parues dans les médias, a également examiné le rapport de l’OMS. Il relève que :

  •  la recommandation est dite « conditionnelle », c’est-à-dire que les preuves d’une limitation des édulcorants basses calories ne sont pas concluantes.
  • Que si les études observationnelles ne montrent pas d’utilité des édulcorants, les études d’intervention – qui ont plus de poids d’un point de vue scientifique –   montrent généralement un effet bénéfique des édulcorants lorsqu’ils replacent le sucre.

Il précise en outre que les personnes qui consomment des édulcorants artificiels mangent généralement plus et ont davantage envie de sucreries. Il conclut que les édulcorants artificiels ne sont pas déconseillés parce qu’ils seraient nocifs, mais parce que leur utilisation ne permet pas de perdre du poids.

A lire aussi : Etudes d’intervention et études d’observation, quelle différence ?

Retrouvez également l’avis de l’International Sweeteners Organisation ISA sur le rapport de l’OMS ici

Référence :

Use of non-sugar sweeteners: WHO Guideline. 2023. ISBN 978-92-4-007361-6 (electronic version)

L'aspartame est-il sans danger ?

Il existe beaucoup d’informations alarmistes qui évoquent les soi-disant dangers de l’aspartame. Mais en réalité, l’aspartame est l’un des ingrédients les plus étudiés de la chaîne alimentaire, et sa sécurité est bien établie par les autorités compétentes, notamment l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (EFSA) pour l’Europe.

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L’aspartame est-il sans danger ?

Il existe beaucoup d’informations alarmistes qui évoquent les soi-disant dangers de l’aspartame. Mais en réalité, l’aspartame est l’un des ingrédients les plus étudiés de la chaîne alimentaire, et sa sécurité est bien établie par les autorités compétentes, notamment l’Autorité Européenne de Sécurité Alimentaire (EFSA) pour l’Europe.

Les « dangers » de l’aspartame

L’internet regorge d’informations sur la santé. Ce n’est pas étonnant, puisque la santé fait partie des sujets les plus recherchés par les internautes. Mais dans ce domaine, les informations pseudoscientifiques et autres fake news sont présentes en masse, sur le web comme sur les réseaux sociaux. Les édulcorants basses calories, dont l’aspartame, n’y échappent pas. Des maux de tête aux saignements de nez, du diabète aux tumeurs cérébrales, les soi-disant dangers de l’aspartame se comptent par dizaines. Pourtant, mis à part en cas d’une maladie rare bien précise (la phénylcétonurie), l’aspartame est unanimement reconnu comme sûr, pour autant bien entendu qu’il soit consommé dans le cadre de la DJA

Ma consommation d’aspartame est-elle sûre ? Je vérifie avec l’édulcotest

L’aspartame peut-il déclencher un cancer ?

C’est ce que l’on peut lire dans une certaine presse de façon régulière, et plus particulièrement fin juin 2023. C’est une extrapolation pseudoscientifique du fait que l’International Agency for Research on Cancer (IARC) classe désormais l’aspartame dans le groupe de substances « cancérogène possible pour l’homme », aux côtés des légumes en saumure ou encore de l’aloe vera. Une substance peut présenter un danger (cancérogène), mais ce qui importe, c’est le risque réel encouru, qui dépend de l’exposition à ce danger. Ainsi, le danger pour un piéton de se faire renverser par une voiture est mortel, mais le risque encouru va dépendre de nombreux facteurs, comme la fréquence de circulation des voitures, le fait de traverser la route sur un passe piéton ou pas…  

Pour l’aspartame c’est la même chose : une substance peut être considérée comme possiblement cancérogène à forte dose, et ne pas faire courir de risque dans des conditions d’utilisations bien précises, ce qui est le cas de l’aspartame. D’ailleurs, peu après les fuites sur la nouvelle classification de l’IARC, l’Organisation Mondiale de la Santé, par le biais de son comité mixte d’experts de l’OMS et de la FAO sur les additifs alimentaire (le JECFA), a réaffirmé la sécurité de l’aspartame. 

En savoir plus sur l’aspartame

Pour qui l’aspartame est-il dangereux ?

L’aspartame est dangereux uniquement pour les personnes souffrant d’une maladie métabolique rare, la phénylcétonurie. Dans cette maladie, un acide aminé issu de l’aspartame, la phénylalanine, qui se retrouve également couramment dans l’alimentation, n’est pas bien régulée, et son accumulation dans le sang devient toxique pour le cerveau et le système nerveux. La consommation de phénylalanine – qui se retrouve dans les protéines de notre alimentation (viande, poisson, œufs, produits laitiers, légumes secs…) doit donc être limitée, et l’aspartame est dans ce cas précis à éviter.

Aspartame : quels sont les dangers du méthanol ?

Dans l’organisme, l’aspartame est transformé en 3 composés : l’acide aspartique, la phénylalanine et le méthanol. Tous les 3 sont naturellement présents dans une alimentation courante sans aspartame. Le méthanol est parfois accusé de causer la cécité, car à partir d’une certaine quantité, il est toxique pour le nerf optique (entre autres). Mais comme dit l’adage qui se vérifie en science : c’est la dose qui fait le poison ! Même l’eau, en excès, peut devenir dangereuse. Du méthanol est produit en très petites quantités dans l’organisme à partir d’aliments tels que les fruits et légumes, qui ne sont pas pour autant mauvais pour la santé ! À titre de comparaison, 1 verre d’une boisson light édulcorée à l’aspartame donnera 6 fois moins de méthanol qu’un verre de jus de tomate.

En savoir plus : que devient l’aspartame dans le corps

Sur quoi repose la sécurité de l’aspartame ?

 Sa sécurité repose sur des centaines réalisées depuis plus de 40 ans. Des instances internationales comme le Comité international mixte FAO/OMS d’experts sur les additifs alimentaires (JECFA) ont évalué l’aspartame et le considèrent comme sûr. En Europe, c’est l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA), qui examine les additifs alimentaires, dont les édulcorants basses calories font partie. Le principe est simple : ne sont autorisés dans l’Union Européenne que les additifs qui sont considérés comme sûrs, et qui portent un nom de code européenne à 3 ou 4 chiffres, précédé de la lettre « E ».

Quelle est la quantité d’aspartame sans danger ?

La quantité d’un additif qui peut être consommée pendant toute sa vie en toute sécurité est donnée par la Dose Journalière Admissible ou DJA. Pour l’aspartame, celle-ci est depuis longtemps de 40 mg par kilo de poids corporel et par jour. Bien que l’aspartame ait été examiné et autorisé depuis des décennies, l’EFSA a procédé en 2013 à une réévaluation complète, pour voir s’il y avait lieu de modifier cette DJA à la lumière des données plus récentes. Il n’en a rien été : dans son avis final, l’EFSA réaffirme que l’aspartame est sûr pour la consommation humaine, et confirme que la DJA est inchangée.

Quelles sont les conditions pour qu’un édulcorant soit mis sur le marché ?

L’aspartame rend-il obèse ?

Certaines informations associent l’aspartame à l’obésité. Lorsque l’on regarde la consommation de boissons light, d’édulcorants basses calories, dont l’aspartame, on voit qu’elle est plus élevée chez les personnes obèses que les personnes de poids sain. Certains en déduisent erronément que c’est la preuve que les boissons light et/ou les édulcorants basses calories favorisent le développement de l’obésité… Alors qu’en réalité, il s’agit d’un lien causal inverse. Les personnes obèses sont plus nombreuses que celles qui ne le sont pas à vouloir limiter leur apport calorique, dont la consommation de sucre fait partie. Et pour ce faire, elles remplacent plus souvent des boissons sucrées par des boissons light sans sucres, et d’autres produits dans lesquels le sucre a été remplacé par des édulcorants basses calories.

5 mythes sur les boissons light

L’aspartame est-il utile en cas d’obésité ?

Les édulcorants basses calories comme l’aspartame permettent de réduire l’apport calorique. De ce fait, ils peuvent jouer un rôle dans la lutte contre l’épidémie d’obésité. Actuellement, plus d’1 adulte européen sur 2 est en excès de poids, ce qui représente un défi de santé majeur. Par ailleurs, le diabète de type 2 connait lui aussi un développement fulgurant. Ici aussi, l’excès de poids et l’obésité jouent un rôle important dans la mesure où ils augmentent le risque de diabète.

Le recours aux édulcorants basses calories tels que l’aspartame, peut s’avérer bénéfique. Tant lorsque l’excès de poids est là, que pour prévenir la prise de poids, et donc certaines de ses complications. Ils n’affectent pas les taux d’insuline et de glucose dans le sang et leur contenu calorique est très faible ou nul.

Toutes les informations sur l’aspartame ou E 951

Référence : EFSA Journal. Scientific Opinion on the re-evaluation of aspartame (E 951) as a food additive, 10 December 2013.

Crêpes ricotta citron aux fraises

Fêtez le printemps avec ces crêpes à la ricotta super délicieuses proposées par Ellen de Kokerellen. Un must de légéreté. La ricotta rend la pate particulièrement douce et donne aux crêpes une saveur proche du beurre qui se combine idéalement avec les zestes de citron et les fraises marinées.

Ingrédients (pour 6 personnes ou environ 30 crêpes) 

  • 220 g de farine fermentante
  • ½ c. à c. de bicarbonate
  • 50 g d’édulcorant à base de sucralose (1-1)
  • 2 oeufs
  • 200 g de ricotta
  • 250 ml de lait
  • 1 citron

Pour les fraises :

  • 400 g de fraises
  • 2 c. à s. d’édulcorant à base de sucralose (1-1)

Combien de sucre puis-je consommer ?

Préparation

  • Prendre un grand bol et y mélanger la farine fermentante, le bicarbonate et l’édulcorant à base de sucralose.
  • Prendre un petit bol et y battre les oeufs. Ajouter ensuite la ricotta et le lait et mélanger bien le tout.
  • Laver le citron et en prélever le zeste. Presser le citron. Ajouter le jus et la majorité du zeste au mélange de ricotta. En garder un peu pour la préparation des fraises.
  • Faire un puit au milieu du mélange de farine et y mettre l’appareil à base de ricotta. Mélanger au fouet. Il est possible qu’il reste quelques grumeaux.
  • Préparer les fraises en les lavant, retirant la queue et en les coupant en 4. Ajouter l’édulcorant et le reste du zeste. Bien mélanger et laisser reposer/mariner à température ambiante.
  • Cuire les crêpes avec une noisette de beurre ou un filet d’huile (2 minutes du premier côté et 1 min. de l’autre) jusqu’à ce qu’elles soient bien dorées. Avant de retourner la crêpe, il faut que les bords soient bien cuits et que des petites bulles apparaissent sur le dessus de la crêpe.
  • Servir les crêpes directement avec les fraises marinées. Enjoy!

Valeur calorique = 249 kcal par portion

15 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée) 

Téléchargez la recette ici!

Cheesecake mojito (sans alcool)

Découvrez la recette du cheesecake saveur mojito allégé en sucre, créée par la diététicienne gourmande, Chloé De Smet. Cette recette délicieuse offre une alternative plus saine au cheesecake traditionnel, sans compromettre le goût.

Ingredients (pour 8 personnes)

  • 160 g de biscuits sablés (ici des Generous vanille sans gluten)
  • 50 g de beurre fondu
  • 25 cl de crème liquide à 20% de matières grasses
  • 1 gros bouquet de menthe
  • 3 feuilles de gélatine
  • 400g de fromage frais (type carré frais 0%)
  • 100g d’érythritol
  • 3 citrons verts non traités

Eythritol: le seul édulcorant de masse avec un apport en calorie nul

Préparation 

  • Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6)
  • Mixer ou écraser grossièrement les biscuits et les mélanger au beurre fondu.
  • Étaler cette pâte dans le fond d’un moule à manqué de 18cm. Cuire au four durant 10 minutes, puis sortir du four et laisser refroidir.
  • Prélever les feuilles de menthe, en réserver quelques-unes pour la décoration et ciseler le reste du bouquet.
  • Dans un poêlon, porter la crème à légère ébullition. Ajouter la menthe et couper le feu. Laisser infuser 30 minutes à 1 heure.
  • Filtrer la crème et la remettre à chauffer dans le poêlon.
  • Dans un bol d’eau froide, faire ramollir la gélatine. L’ajouter ensuite à la crème chaude hors du feu et mélanger. Laisser refroidir.
  • Zester les citrons puis les presser.
  • Dans un robot, fouetter le fromage frais, l’érythritol, la crème, le jus et les zestes de citron.
  • Verser délicatement l’appareil sur la pâte cuite et refroidie. Mettre au frigo pour 3 heures minimum.
  • Démouler avec précaution en passant la lame d’un couteau souple ou d’une fine spatule entre le gâteau et le moule.
  • Décorer avec des zestes de citron et quelques feuilles de menthe.

Déguster! ENJOY!

Valeur calorique: 242 kcal par portion

10 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée)

Télécharger la recette ici!

Crème brûlée

Découvrez une nouvelle recette de ce dessert que l’on aime tant : la crème brûlée !

Ici @simply.morane vous propose une version où le sucre est remplacé par un édulcorant spécial pour pâtisserie. Par-dessus la crème un peu d’édulcorant au tagatose que l’on va « brûler » pour obtenir cette couche de « caramel » craquant.

Ingrédients (pour 6 petits verres)

  • 250 ml de crème 35% 
  • 150 ml de lait 
  • 4 jaunes d’œufs
  • 40 g d’édulcorant pour pâtisserie
  • 1/2 gousse de vanille ou 1 càs d’extrait de vanille de qualité avec grains de vanille 
  • un peu d’édulcorant en poudre au tagatose pour la couche de « caramel » (1 c. à café par verre)

Est-il possible de caraméliser des noix sans sucre ?

Préparation: 

  • Faire chauffer la crème avec le lait, la gousse de vanille et les grains (fendre la gousse en deux pour en extraire les grains).
  • Dans un bol, mélanger les jaunes d’œufs avec l’édulcorant.
  • Verser le lait chaud par-dessus en filet et fouetter/mélanger la préparation en même temps.
  • Verser dans des petits ramequins.
  • Cuire au bain-marie 50 min/1h dans un four préchauffé à 130°.
  • Laisser refroidir les crèmes et les mettre au frigo pendant 3-4h.
  • Sortir les crèmes, ajouter un peu de poudre au tagatose par-dessus et brûler à l’aide d’un chalumeau pour faire caraméliser
    (option sans chalumeau : sous le grill du four, mais bien surveiller).

Valeur énergétique : 206 kcal par portion

10.5 g de sucre en moins par rapport à une version sucrée

Téléchargez la recette ici!

Miraculine

La miraculine est une glycoprotéine contenue dans une baie tropicale appelée « le fruit miracle », qui a la propriété de transformer la perception du goût acide en goût sucré.

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Madeleines au citron et à la lavande

Notre influenceuse lifestyle An-Katrien a toujours eu un faible pour les ‘Madeleines’. Elle souhaitait toutefois apporter une petite touche de fraicheur et de nouveauté à cette recette bien connue. De quoi la rendre encore plus intéressante !

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Pour boire plus, variez les boissons !

Le fondement premier d’un régime alimentaire sain est une bonne hydratation. Les différents modèles alimentaires, dont la Pyramide Alimentaire, le montrent clairement. Pourtant, le Belge boit trop peu, bien que la palette variée de boissons sans sucres à sa disposition contribue à combler ses besoins journaliers en eau. Or, dans cette catégorie de boissons, les édulcorants jouent un rôle essentiel. Petit aperçu.

Le corps humain est composé de 50 à 70 % d’eau. Qui plus est, l’eau joue plusieurs rôles essentiels pour l’organisme et la santé, notamment en régulant la température corporelle. D’où la place prépondérante qu’occupe l’hydratation dans les différents modèles alimentaires.

Chaque jour, nous perdons 2 à 3 litres d’eau !

Pourquoi est-il recommandé de boire 1,5 litre d’eau chaque jour ? Pour compenser les pertes hydriques ! Notre organisme perd en effet quotidiennement de l’eau par diverses voies, et cela peut aller jusqu’à plusieurs litres par jour. Par exemple :

  • Les reins éliminent entre 1 et 1,5 litre d’eau chaque jour.
  • Nous perdons 300-350 ml d’eau dans les selles.
  • Le reste est perdu au travers de la peau et de la respiration. Cette perte est évaluée à environ 300 à 500 ml par m2 d’épiderme par jour.

Pour conserver leur équilibre hydrique, les adultes doivent donc ingérer 2 à 3 litres d’eau par jour. Il va sans dire que les pertes par évaporation et transpiration dépendent en grande partie des conditions météorologiques et des efforts physiques produits. Faire du sport quand il fait chaud peut entraîner la perte de plusieurs litres d’eau par la peau.

Afin de compenser ces pertes, le corps puise de l’eau dans les aliments et les boissons ingérés. L’apport d’eau quotidien issu de notre alimentation est estimé à 1 à 1,5 litre. Mais il faut en plus boire en suffisance : la quantité recommandée est de 1,5 litre par jour.

Envie de préparer votre boisson hydratante vous-même ? Voici quelques recettes !

Le Belge boit trop peu, mais varier les boissons aide

Le Belge boit trop peu d’eau, tel est le constat de la dernière enquête de consommation alimentaire de 2014. Moins de 30 % de la population boit 1,5 litre de boissons non sucrées par jour. Cela signifie que plus de 5 Belges sur 7 ne boivent pas assez au quotidien. Ce pourcentage varie fortement selon la tranche d’âge (voir graphique).

Les quantités englobent uniquement les boissons non sucrées et non alcoolisées comme l’eau minérale, le café, le thé et les boissons rafraîchissantes light. Bien que l’eau soit à privilégier, il est clair que varier les boissons améliore l’hydratation. Et c’est là que les édulcorants jouent un rôle important.

Bien souvent, la catégorie des boissons sans sucres recourt à des édulcorants pour obtenir la saveur sucrée voulue sans ajouter de sucre. Ces boissons hydratent sans apporter ni glucides, ni calories.

Lisez cet article pour tout savoir sur les édulcorants dans les boissons rafraîchissantes.

En 2014, le Belge buvait en moyenne 1,17 litre d’eau ou de boissons non sucrées par jour :

  • Environ 800 ml d’eau
  • Environ 360 ml de boissons rafraîchissantes light et de boissons chaudes

Quelle est la place des boissons sans sucres ? Quelles sont les recommandations ? Voyez l’infographie !

Hydratez-vous en suffisance, de préférence en buvant de l’eau : tel est le message.

Heureusement, une évolution positive est perceptible : entre 2004 et 2014, la proportion de personnes âgées de 15 à 64 ans qui ne buvaient pas assez a diminué. De nouvelles données actuellement collectées en Belgique montreront, espérons-le, un renforcement de cette tendance. Si vous vous inscrivez à notre newsletter, edulcorants.eu vous tiendra au courant.

Savez-vous que, depuis plusieurs années, la teneur moyenne en sucres des boissons rafraîchissantes diminue ? Alors que l’offre de boissons se diversifie de plus en plus, la teneur en glucides baisse. Et cette baisse devrait se poursuivre dans les années à venir, grâce notamment à l’utilisation d’édulcorants basses calories. Cet article vous en dira plus à ce sujet.

Références :
  • Institut scientifique de santé publique (ISP), Enquête nationale de consommation alimentaire, 2014-2015.
  • Conseil supérieur de la santé (CSS), Recommandations nutritionnelles pour la Belgique, 2016.

Limonade d’hiver à la mandarine

Une bonne limonade maison, c’est toujours un vrai plaisir... Et pas qu’en été! Certainement si vous y ajoutez quelques épices hivernales comme dans cette recette de limonade à la mandarine, gingembre, cannelle et anis étoilé.

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Comment le sucre donne-t-il de la graisse ?

Le sucre, comme tous les autres glucides, est digéré et converti en glucose, seul sucre qui circule dans le sang. Mais pourquoi et comment le sucre se transforme-t-il en graisse ? On vous explique.

Le sucre, les sucres, de quoi parle-t-on ?

Le sucre désigne un sucre bien précis : le saccharose ou sucrose. Mais il y a d’autres sucres, comme le glucose, le fructose, le lactose… Tous n’ont pas le même pouvoir sucrant (c’est-à-dire la même intensité de saveur sucrée), mais tous ont la même valeur énergétique, à savoir qu’ils apportent 4 kcal par gramme. Mais où va cette énergie contenue dans les sucres ? Elle peut prendre plusieurs voies…

Que deviennent les sucres dans le corps ?

Les sucres, tout comme les autres glucides tels que l’amidon des féculents, doivent tous être transformés en sucres simples pour franchir la barrière intestinale. À l’issue de la digestion, il y a donc essentiellement du glucose, ainsi qu’un peu de fructose, et éventuellement du galactose si l’on a consommé du lactose (sucre du lait). Fructose et galactose vont être transformés par le foie en glucose, qui est le seul sucre circulant dans le sang, et un carburant majeur pour les muscles et le cerveau. Mais ce carburant n’est utilisé que s’il y a un besoin d’énergie… Sinon il est mis en réserve.

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Pourquoi l’organisme fait-il du gras avec le sucre ?

Après avoir consommé n’importe quel glucide (du sucré, des féculents…), le taux de glucose dans le sang augmente. Une petite partie de ce glucose est utilisée pour répondre aux besoins immédiats en énergie (l’organisme consomme de l’énergie 24 heures sur 24, même en dormant !). Le corps va utiliser de plus grandes quantités de glucose lors d’une activité physique. Mais tout ce qui n’est pas utilisé dans l’immédiat va être mis en réserve.

L’organisme dispose de deux types de réserve créées à partir du glucose :

  1. Le sucre est transformé en un glucide complexe, le glycogène, qui va être stocké dans le foie et dans les muscles. Le glycogène pourra rapidement est transformé à nouveau en glucose, ce qui est le cas pendant le jeûne nocturne ainsi que lors d’une activité physique.
  2. Le sucre est transformé en graisse au niveau du foie. Cette graisse sera stockée en partie dans le foie ainsi que dans les cellules graisseuses (appelées adipocytes). Celles-ci constituent une réserve énergétique très efficace puisque l’organisme peut stocker 9 kcal pour 1 gramme de graisses, contre seulement 4 kcal pour 1 gramme de glycogène. Cependant, cette réserve est plus difficile à mobiliser que l’énergie stockée sous forme de glycogène.

Il n’y a donc pas que les graisses qui contribuent à l’excès de poids et à l’obésité : une consommation excessive de sucre et d’autres glucides peut aussi y contribuer.

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Le sucre empêche l’utilisation des graisses

Les réserves de graisse ne sont mobilisées qu’en cas de besoin. C’est d’abord le glycogène qui est utilisé, et qui permet de couvrir les besoins équivalents à une nuit de sommeil, ou environ 1 heure d’activité physique. Les graisses ne sont utilisées que lorsque les réserves de glycogènes ont sensiblement diminué.

  • Si vous pratiquez du sport avec pour objectif de faire fondre les graisses pour perdre du poids, évitez de consommer du sucre (sous quelque forme que ce soit) pendant votre activité, car tant que l’organisme reçoit du sucre (dont de n’énergie), il l’utilisera préférentiellement pour alimenter l’effort, et n’ira donc pas puiser dans les réserves graisseuses.

Les édulcorants basses calories ne contiennent pas ou très peu de calories, ils ne sont dès lors pas utilisés comme source d’énergie, et ne peuvent pas être transformés en graisse.

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Découvrez ici notre infographie à télécharger!

Dans quelle mesure les édulcorants basses calories sont-ils vraiment sûrs ?

Les édulcorants basses calories comme la stevia, le sucralose et l’aspartame entrent dans la composition de nombreux produits et peuvent également être utilisés pour préparer des plats maison. De nombreuses informations alarmantes circulent toutefois à leur sujet. Savez-vous que tous les édulcorants sont contrôlés et font l’objet d’études avant d’être commercialisés ? Penchons-nous sur ce processus.

Les édulcorants font parler d’eux depuis très longtemps et ont autant de partisans que de détracteurs. Sont-ils dangereux pour la santé ? Sont-ils cancérigènes ou favorisent-ils l’obésité ? Les études scientifiques existantes démontrent que ces allégations ne sont pas fondées. Les édulcorants basses calories peuvent être utilisés en toute sécurité tant que leur DJA (dose journalière admissible) n’est pas dépassée. Les édulcorants n’apparaissent pas dans nos rayons par magie. La détermination de chaque DJA fait partie d’une longue procédure qui précède leur mise sur le marché.

Tous les édulcorants basses calories présents sur le marché sont sûrs

Tous les nouveaux additifs alimentaires font l’objet d’analyses approfondies avant d’être commercialisés. Ils ne sont autorisés que lorsque des preuves en nombre suffisant attestent de leur innocuité. Pour être approuvés, ils sont tout d’abord soumis à des analyses scientifiques chapeautées par des instances nationales et internationales indépendantes.

Dans l’Union européenne, l’évaluation scientifique des édulcorants relève de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), qui analyse chaque édulcorant en réalisant un certain nombre d’études scientifiques, parfois jusqu’à des centaines. Ces études doivent répondre à diverses exigences de qualité et pouvoir être réitérées à maintes reprises par différents scientifiques. Ce long et minutieux processus d’autorisation peut prendre des années.

Le Comité mixte d’experts sur les additifs alimentaires (Joint Expert Committee on Food Additives ou JECFA) de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture des Nations Unies (FAO) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) étudient eux aussi les divers édulcorants.

Quel édulcorant vaut-il mieux choisir ?

Édulcorants pour préparations chaudes

Édulcorants à effet décoratif  

La sécurité est une question de quantité

Toutes les substances et tous les ingrédients, aussi naturels soient-ils, peuvent se révéler dangereux à partir d’une certaine quantité. Prenez par exemple le fer minéral, indispensable pour rester en bonne santé et pourtant nocif pour le corps humain s’il est absorbé en quantités extrêmes. De telles quantités toxiques ne sont cependant que rarement voire jamais observées, encore moins dans un régime alimentaire varié et équilibré. Une personne pesant 60 kg devrait ingérer plus de 600 mg de fer par jour, ce qui équivaut par exemple à 40 kg d’entrecôte de bœuf ou 8,6 kg de foie de bœuf en un seul jour.

Pour chaque édulcorant basses calories, on détermine la quantité pouvant être journellement – et tout au long de sa vie – absorbée par l’être humain en toute sécurité. C’est ce qu’on appelle la dose journalière admissible ou DJA. Ce seuil porte donc sur une consommation journalière et tout au long de la vie, et non pas une prise unique. Cette valeur est utilisée à l’échelle mondiale et exprimée en milligrammes par kilogramme de poids corporel. Plus celui-ci est élevé, plus le seuil maximal de consommation sûre est élevé. Une étude belge relative à la consommation d’édulcorants a montré que celle des adultes demeurait nettement sous le seuil de la DJA, même en cas de consommation fréquente de produits allégés1.

Une infographie pour tout savoir sur la DJA! A télécharger!

Respectez-vous la DJA ? Faites le test !

La consommation d’édulcorants comporte-t-elle des avantages ?

On pourrait se demander pourquoi les édulcorants basses calories sont utilisés. La réponse est simple : les édulcorants basses calories comportent des avantages pour la santé. D’ailleurs, saviez-vous qu’il fallait systématiquement prouver l’utilité avérée de chaque additif dans le cadre du processus d’autorisation susmentionné ? L’avantage des édulcorants basses calories est évident : ils ont une saveur sucrée, mais ne contiennent pas de sucre, raison pour laquelle ils sont souvent utilisés en remplacement (partiel) du sucre dans les recettes et denrées alimentaires.

  • Les édulcorants contribuent au maintien d’un poids corporel sain.
  • Les édulcorants n’endommagent pas les dents et contribuent au maintien de la minéralisation des dents.
  • Les édulcorants n’ont aucune influence sur le taux de sucre, aussi appelé glycémie, ce qui signifie qu’ils peuvent être consommés en toute sécurité par les diabétiques.

On dit parfois que les édulcorants naturels sont meilleurs que les édulcorants artificiels. Est-ce vrai ?

(1) Institut scientifique de santé publique (ISP), enquête belge sur la consommation d’édulcorants, décembre 2010.

Thé d’hiver au rooibos

Découvrez cette infusion hivernale par excellence à base de rooibos. Elle vous surprendra par son goût fruité, vif et épicé et sans aucune amertume grâce à une jolie combinaison de pomme, orange et gingembre. Elle fera l’unanimité auprès des petits comme des grands.

Ingrédients (pour 4 personnes) 

  • 1 litre d’eau 
  • 2 sachets de thé au rooibos 
  • 1 pomme 
  • 1 orange 
  • 1 petite pointe de gingembre 
  • 1 bâton de cannelle 
  • 1 c. à s. d’édulcorant à base de tagatose (à la place de 2 c. à s. de sucre cristallisé) 
  • 1 fleur d’anis étoilé 
  • ½ c. à c. d’extrait de vanille ou la moitié d’une gousse de vanille 

Le tagatose est-il obtenu à partir du thé ou du lait ?

Préparation: 

  • Prendre un poêlon et y mettre le litre d’eau.
  • Laver la pomme, le gingembre et l’orange et les couper en fines tranches (laisser la peau). 
  • Mettre les morceaux de pomme, de gingembre et d’orange ainsi que les deux sachets de thé dans l’eau. Ajouter le bâtonnet de cannelle, l’anis étoilé et l’édulcorant à base de tagatose et porter lentement à ébullition. 
  • Faire bouillir 5 minutes et retirer les sachets de thé. Laisser cuire doucement les autres ingrédients encore 10 à 15 minutes. 
  • Retirer ensuite le poêlon du feu et ajouter la vanille. Bien mélanger. 
  • Passer au chinois avant de répartir dans les verres. 

Valeur énergétique : 10 kcal par portion

10 g de sucre en moins par rapport à une version sucrée

Téléchargez la recette ici!

Gaufres coco mangue

Découvrez en vidéo comment réaliser facilement ces délicieuses gaufres sans sucres ajoutés. Une recette proposée par notre blogueuse culinaire «Everyday Marta»!

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Chocolat chaud épicé

Notre foodie, Kokerellen, propose ici une combinaison de 2 de ses ingrédients préférés en hiver : les épices et le chocolat chaud !

Grâce à l’utilisation de gingembre, cannelle, anis étoilé et clous de girofle, la maison s’emplit en un très peu de temps de cette odeur tellement typique de la fin d’année. Ces épices donnent aussi un petit côté piquant à cette boisson chocolatée. Et pour en rendre le goût encore plus intense, on laissera infuser un petit sachet de thé chai dans le lait.  

Ingrédients (pour 2 personnes) 

  • 500 ml de lait demi-écrémé 
  • 2 c. à s. de poudre de cacao 
  • 2 c. à c. d’édulcorant à base de tagatose 

Pour les épices chai: 

  • 1 sachet de thé chai ET/OU 
  • 20 g de gingembre frais, en fines tranches  
  • 2 bâtons de cannelle 
  • 1 morceau d’anis étoilé 
  • 4 clous de girofle 

Les sucres « tendance »: de quoi s’agit-il exactement ?

Préparation 

  • Verser le lait dans un poêlon avec la poudre de cacao. Ajouter les épices et le gingembre et faire chauffer lentement, à feu doux. 
  • Veiller à ce que le lait ne chauffe pas trop fort et éteindre le feu juste avant ébullition. Au plus longtemps vous laissez chauffer le lait, au plus fort sera le gout des épices. 
  • Ajouter l’édulcorant et remuer jusqu’à ce qu’il soit bien dissout. 
  • Répartir le lait dans les verres, en utilisant un chinois pour récupérer les épices. Décorez éventuellement de chocolat râpé. Bonne dégustation ! 
  • Attention: si vous utilisez un sachet de thé chai, placer le sachet dans le lait avec les épices (ou à la place des épices). Le retirer avant de servir. 

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Gâteau au chocolat et betterave rouge

Voilà un gâteau pas comme les autres que vous propose notre blogueuse culinaire Marta Majewska - The Luscious Joys of Princess Misia! Non seulement il est sans sucres ajoutés, mais la betterave y apporte une touche moelleuse, douce, permettant de limiter l’apport en graisses, sans sacrifier le côté gourmand.

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Des questions sur le diabète ? Un poids sain relève du défi ? Ou tout simplement besoin d’inspiration pour manger moins sucré ?