FAITES LE TEST !

Combien de calories brûlez-vous?

Cela dépend du moment de la journée! Des chercheurs américains ont fait une découverte surprenante : le nombre de calories que l’on brûle au repos change avec le moment de la journée.

Ainsi, nous brûlons 10% de calories en plus en fin d’après-midi et en début de soirée que tôt le matin. Mais cela ne signifie pas pour autant que tous les dérapages sont désormais permis !

Ces résultats mettent à nouveau en lumière le rôle important du rythme circadien (l’alternance entre l’éveil et le sommeil) dans le contrôle du métabolisme. Ils aident également à expliquer pourquoi les irrégularités dans les horaires de repas et de sommeil, par exemple en cas de travail à horaire décalé ou pour d’autres raisons, peuvent favoriser la prise de poids.

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Une expérience sur plusieurs fuseaux horaires

Pour déterminer les changements de métabolisme au cours de la journée, les chercheurs ont suivi sept individus dans un laboratoire des plus particuliers. Les volontaires étaient en effet coupés du monde, sans indication d’heure, fenêtre, téléphone ou accès à Internet, pendant 3 semaines. Ils devaient respecter certaines heures pour se coucher et se réveiller et les plages horaires variaient très régulièrement pour mimer l’impact d’un changement de fuseau horaire. Vu qu’ils faisaient l’équivalent d’un tour du monde toutes les semaines, leur horloge interne ne pouvait pas suivre le rythme et a donc oscillé à son propre rythme. Un stratagème qui a permis de mesurer les variations du métabolisme à toutes les heures biologiques possibles de la journée.

Plus de calories brûlées l’après-midi et le soir

Les données mesurées ont montré que la dépense d’énergie au repos est la plus faible lors de la phase circadienne qui correspond au creux de la température corporelle centrale, tard dans la nuit biologique. La dépense de calories était, à l’opposé, la plus élevée lors de la phase circadienne qui s’opère environ 12 heures plus tard, dans l’après-midi biologique et jusqu’au soir.

En d’autres mots, ce n’est pas seulement ce que nous mangeons, mais l’instant où l’on mange – et nous nous reposons – qui a un impact sur la quantité d’énergie que nous brûlons ou stockons sous forme de graisse. La régularité des habitudes (repas, plages de repos) est donc très importante pour la santé en général. Mais cette étude ne permet cependant pas de faire des raccourcis ! Si l’on brûle plus de calories l’après-midi et le soir, cette dépense n’est pas suffisante en soi pour compenser des excès, notamment le grignotage sucré !

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Source : Kirsi-Marja Zitting, Nina Vujovic, Robin K. Yuan, Cheryl M. Isherwood, Jacob E. Medina, Wei Wang, Orfeu M. Buxton, Jonathan S. Williams, Charles A. Czeisler, Jeanne F. Duffy. Human Resting Energy Expenditure Varies with Circadian Phase. Current Biology, 2018; DOI: 10.1016/j.cub.2018.10.005

Pourquoi on craque pour la saveur sucrée?

L’attrait pour la saveur sucrée est inné et universel. Et il a même son utilité. Il n’y a donc pas de quoi culpabiliser à aimer le sucré ! Mais cela ne dispense pas d’éviter de consommer trop de sucre…

Dès la naissance, nous sommes attirés par la saveur sucrée. Cela concerne tous les êtres humains aux quatre coins du globe. Nous n’y pouvons rien : c’est inné, c’est-à-dire déterminé par le patrimoine héréditaire de l’espèce humaine. Cet attrait pour la saveur sucrée joue un rôle important dans la sélection des denrées à la naissance (à commencer par l’acceptation du lait maternel). Ainsi, du sucré, du salé, de l’acide, de l’amer ou de l’umami, seul le sucré amène le bébé à esquisser un sourire, les autres goûts provoquant une grimace. Cet attrait pour le sucré et le rejet de l’amertume est considéré comme le résultat d’une évolution naturelle pour préparer le jeune à accepter des sources d’énergie, et se protéger de substances toxiques, souvent amères. Mais si la saveur sucrée nous fait tant craquer, ce n’est pas seulement pour des raisons purement physiologiques : c’est aussi une source de plaisir !

Comment l’attrait pour le sucré évolue au cours de la vie?

L’attrait pour la saveur sucrée reste présent tout au long de la vie, toutefois il diminue à l’âge adulte et au cours du vieillissement. C’est durant l’enfance qu’il est le plus marqué, ce qui est interprété comme un moyen pour attirer les jeunes organismes vers des aliments riches en énergie pendant cette période qui compte des besoins énergétiques importants en raison de la croissance. L’attrait pour la saveur sucrée évolue cependant différemment selon les individus, avec des différences à l’âge adulte qui s’expliquent en partie par des différences génétiques.

Du sucre à la saveur sucrée, sans calories

Si le sucré plaît, une consommation excessive de sucres peut contribuer à un apport énergétique trop important, et favoriser de ce fait la prise de poids et l’obésité. Pour cette raison, différentes instances de santé recommandent de limiter la consommation de Vagra. Le fait de devoir limiter sa consommation de sucres ajoutés a contribué à la recherche et au développement d’alternatives au sucre, qui permettent de continuer de profiter de la saveur sucrée, sans influencer le taux de sucre dans le sang et sans apport calorique : les édulcorants basses calories. Il est ainsi plus aisé de respecter les recommandations relatives à la limitation des sucres, tout en continuant à profiter de la saveur sucrée qui plaît. Les progrès dans la mise au point de différentes recettes ont atteint un tel niveau dans la gastronomie qu’il est désormais possible de remplacer le sucre, en partie ou complètement, sans rien remarquer au niveau du goût ! Trouvez l’inspiration dans notre section recettes.

Pour plus d’informations sur les édulcorants basses calories, leurs rôles et leurs avantages, consultez le nouveau booklet de l’ISA (International Sweeteners Association).

Je suis diabétique: la stevia peut-elle m’aider?

En cas de diabète de type 2, la réduction de la consommation de sucre est recherchée pour contrôler le taux de sucre dans le sang. Le recours à des édulcorants basses calories peut aussi s’avérer intéressant. C’est le cas pour l’édulcorant à base de stévia, comme l’explique cet article paru dans Medical News Today.

La popularité de la stévia (en réalité, nous consommons des extraits de la feuille de stévia, les glycosides de steviol) a fortement augmenté ces dernières années, en particulier chez les personnes diabétiques, plus attentives à leur consommation de sucre. Dans cet article de Medical News Today, les avantages et les inconvénients de la stévia pour les personnes atteintes de diabète sont passés au crible. Petit inventaire des messages clés.

Comment est obtenue la stévia ? Regardez cette vidéo.

 La stévia est-elle sans danger pour les diabétiques?

Oui, remplacer le sucre par de la stévia est sans danger pour les personnes atteintes de diabète, dans la mesure où celle-ci est consommée en fonction de la dose journalière admissible au DJA. L’auteur de l’article rappelle d’ailleurs que la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis classe les glycosides de stéviol comme « généralement reconnus comme sûrs » ou GRAS. En conséquence, les fabricants peuvent ajouter certains glycosides de stéviol de haute pureté aux aliments et aux boissons. C’est également le cas en Europe, où les extraits de stévia ont été approuvés par l’EFSA.

Toujours aux USA, l’American Heart Association (AHA) et l’American Diabetes Association (ADA) ont déclaré que la stévia peut s’avérer bénéfique pour les diabétiques s’ils l’utilisent correctement et ne compensent pas en consommant des calories supplémentaires lors des autres repas. Les recherches corroborent cette affirmation en suggérant que la stévia peut aider à contrôler la glycémie.

La stévia peut-elle aider à prévenir le diabète?

Non, l’édulcorant à base de stévia ne prévient pas et ne guérit pas le diabète, mais il a tout à fait sa place dans l’alimentation du diabétique, comme le détaille notre e-book sur le sujet. L’article du Medical News Today cite l’intérêt de l’édulcorant à base de stévia, à l’instar d’autres édulcorants basses calories, dans le maintien et le contrôle de la glycémie en s’appuyant sur plusieurs études. Les glycosides de stéviol ne provoquent pas non plus de dépendance au sucré. Un autre avantage de cet édulcorant est qu’il est relativement polyvalent. Il convient aussi bien aux boissons chaudes que froides et peut être saupoudré sur des flocons d’avoine ou des fruits, par exemple. Il se cuisine également très bien dans la plupart des pâtisseries, même s’il ne caramélise pas.

Stévia, ce qu’il faut retenir en un coup d’oeil

Les édulcorants aident à contrôler les envies

Comment les édulcorants basses calories sont-ils perçus et utilisés? C’est l’objet d’une nouvelle recherche, qui montre que ceux qui les emploient les trouvent utiles pour mieux contrôler leurs envies.

Les édulcorants basses calories font l’objet de perceptions contrastées, selon que l’on en consomme ou non. C’est le premier constat des nouvelles recherches menées par le Dr Charlotte Hardman et son équipe de l’Université de Liverpool, et dont les principaux résultats sont présentés sur www.foodnavigator.com. Ainsi, le goût des édulcorants basses calories est jugé bon par les utilisateurs fréquents, tandis que les non-utilisateurs n’apprécient pas leur goût, et pensent qu’ils peuvent être associés à des problèmes de santé. Le Dr Hardman relève ce contraste entre un scepticisme très marqué vis-à-vis des édulcorants basse calories, malgré un niveau de preuve très faible concernant des effets négatifs sur la santé. « Il y a une perception qui est très négative et qui n’est pas conforme aux évidences scientifiques », rapporte le Dr Hardman.

Les édulcorants aident-ils à contrôler l’appétit ?

L’étude observe que les consommateurs fréquents d’édulcorants basses calories ont un indice de masse corporelle plus élevé et ont pour objectif de limiter leur prise calorique. Les chercheurs ont exploré en profondeur le rapport avec les édulcorants basses calories auprès de ces consommateurs réguliers. Un des  arguments mis en avant est l’aide apportée par les édulcorants basses calories dans le contrôle de l’appétit et, par voie de conséquence, dans l’atteinte des  objectifs nutritionnels tels que la réduction calorique. Mais ce qui est important, souligne Charlotte Hardman, c’est que cela ne s’effectue pas au détriment du plaisir : au contraire, les consommateurs fréquents d’édulcorants basses calories considèrent que c’est une façon plaisante de chercher à atteindre un objectif de perte de poids.

Les boissons light aident-elles à limiter la prise de calories ?

Les chercheurs ont ensuite voulu savoir si ce qui était déclaré – à savoir que les édulcorants basses calories constituent une aide pour réduire l’apport calorique – se vérifiait. Ils ont donc mené une étude expérimentale, en exposant les participants à différentes offres alimentaires, qui comprenaient ou non des boissons sans sucres, contenant des édulcorants basses calories. L’expérience confirme que lorsque les boissons light/zero ne sont pas disponibles, les consommateurs fréquents d’édulcorants basses calories ingèrent plus de calories. De plus, ils déclarent moins bien contrôler leur apport calorique et ont un ressenti de culpabilité.

Les chercheurs projettent désormais de mener une étude à long terme pour examiner l’implication de la consommation d’édulcorants basses calories auprès d’un large groupe pendant plusieurs années.

Source: https://www.foodnavigator.com/Article/2018/10/18/Artificial-sweeteners-help-cut-calories-and-control-cravings-Researchers

Cake aux pommes basses calories

EN VIDEO! Un cake aux pommes traditionnel revisité par notre blogueuse Sophie Charlier… Retrouvez les saveurs de la recette de votre grand-mère les calories en moins!

Ingrédients (pour 8 personnes)

  • 2 œufs
  • 60 g de mélange de sucre de canne (60 g) et 6 g d’édulcorant en poudre à base de stévia
  • 125 g de farine fermentante
  • 125 g de beurre à température ambiante
  • 1 c. à c.  de poudre de vanille
  • 3-4 pommes coupées en fines tranches

Préparation

  • Mélanger les œufs et le mélange sucre de canne-édulcorant. Ajouter la poudre de vanille.
  • Faire fondre le beurre à feu doux et l’incorporer à la préparation.
  • Ajouter la farine. Mélanger à nouveau et réserver.
  • Eplucher les pommes et les évider. Les couper en fines lamelles.
  • Recouvrir un moule à cake de papier sulfurisé.
  • Placer les tranches de pommes dans le fond du moule et recouvrir d’une partie de la pâte. Procéder en couches successives et terminer par une couche de pâte.
  • Faire cuire dans un four chaud à 150 °C pendant 40 minutes.

Valeur énergétique par portion = 245 kcal

9 g de sucre en moins (qu’une version sucrée)

Cranberry rolls

Laissez-vous fondre de plaisir avec ces rolls aux canneberges que nous propose notre blogueuse culinaire Everyday Marta : 100 % douceur et 0 % de sucres ajoutés!

Ingrédients (pour 8 portions)

Pâte:

  • 300 g de farine fermentante
  • 4 c. à c. de poudre au sucralose (= 4 c. à c. de sucre)
  • ½ c. à c. de cannelle en poudre
  • 100 g de beurre fondu
  • 2 jaunes d’œuf
  • 200 ml de lait

Garniture: 

  • 100 g de canneberges
  • 3 c. à s. d’eau
  • 2 c. à s. de jus d’orange frais
  • 4 c. à c. de poudre au sucralose (= 4 c. à c. de sucre)

Préparation

  1. Mettre les canneberges, l’eau, le jus d’orange et la poudre au sucralose dans une casserole. Porter à ébullition. Faire ensuite mijoter à feux doux pendant 10 minutes. Mixer la préparation et laisser refroidir.
  2. Préchauffer le four à 180°C. Mettre tous les ingrédients pour la pâte dans le bol d’un mixer. Pétrir à l’aide de votre mixer muni de crochets à pâte jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène.  Enduire votre plan de travail d’un peu de farine et déposer votre boule de pâte douce et souple.  Etaler à l’aide d’un rouleau pour obtenir un rectangle.
  3. Recouvrir la pâte de canneberges. Enrouler la préparation à partir du long côté du rectangle pour obtenir un gros rouleau. Couper en parts égales. Beurrer un plat à mettre au four. Enfourner les rolls pendant 20 minutes ou jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés. Les retirer du four. Déguster les rolls encore chauds.

Valeur calorique par portion = 352 kcal

6 g de sucre en moins (qu’une version sucrée)

Téléchargez ici la recette!

Que devient l’aspartame dans le corps?

Dans le tube digestif, l’aspartame est transformé en 3 composants: le méthanol, l’acide aspartique et la phénylalanine qui sont également apportés par une alimentation courante. Retrouvez quelques exemples dans notre animation!

Faut-il faire attention aux édulcorants en cas de diabète?

Les édulcorants sont l’objet de nombreuses peurs. La plupart sont injustifiées et doivent être dépassées. Les édulcorants ont tout à fait leur place dans l’alimentation du diabétique. Mieux encore, ils aident à la prise en charge du diabète. Téléchargez notre e-book!

Ce nouvel outil de la bibliothèque de ressources de www.edulcorants.eu passe en revue 5 idées reçues sur les édulcorants et le diabète. Il regorge également de conseils pratiques et d’astuces pour mieux comprendre l’intérêt des édulcorants pour contrôler le poids et la glycémie.

Près d’un demi-milliard de personnes souffrent actuellement de diabète

Si rien n’est fait dans les prochaines années, le nombre de personnes atteintes de diabète pourrait s’élever à 629 millions en 2045, même si la hausse de l’incidence a formellement commencé à ralentir dans certains pays à revenu élevé. Par ailleurs, 352 millions de personnes présentent une intolérance au glucose et donc un risque élevé de développer le diabète. Plus que jamais, l’heure est à la prévention ! Il est aussi possible de gérer le diabète de manière efficace et de prévenir ses complications, en particulier en cas de détection précoce. Mieux encore, des modifications du style de vie, comme une meilleure alimentation et une activité physique accrue, peuvent contribuer à mieux contrôler la maladie. C’est ici que les édulcorants peuvent apporter une contribution, comme nous l’expliquons dans cet ebook.

Un meilleur contrôle du taux de sucre et du poids

Les édulcorants basses calories présentent un goût sucré, mais ils n’augmentent pas la glycémie, que ce soit chez les personnes diabétiques ou en bonne santé. En 2011, L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a d’ailleurs conclu que : « La consommation de denrées alimentaires/boissons contenant des édulcorants à la place du sucre entraîne une hausse de la glycémie inférieure à celle qu’entraîne la consommation de denrées alimentaires/ boissons contenant du sucre ». Ils peuvent aussi être consommés en cas de diabète de grossesse. Les édulcorants basses calories peuvent être utilisés à la place du sucre pour diminuer la consommation totale de glucides pendant un repas. Et lorsqu’ils sont utilisés à la place du sucre et dans le cadre d’un programme de perte ou de maintien du poids, les édulcorants basses calories peuvent aider à réduire la quantité d’énergie fournie par la nourriture. Les édulcorants ne favorisent donc pas le diabète et aident au maintien du poids, un autre avantage dans la prise en charge de la maladie.

Retrouvez aussi nos astuces sur le diabète, ainsi que de nombreuses recettes gourmandes, mais légères et moins sucrées. En cas de doute sur votre consommation d’édulcorants, faites l’édulcotest !

Diabète: de bonnes habitudes pour toute la famille

Pour 2018 et 2019, la journée mondiale du diabète porte sur le thème de la famille. L’occasion de rappeler que l’alimentation recommandée et optimale d’une personne atteinte de diabète de type 2 peut être bénéfique pour toute la famille.

Le diabète concerne toutes les familles: tel est le leitmotiv de la prochaine journée mondiale du diabète, organisée chaque année le 14 novembre par la Fédération internationale du diabète. Le diabète de type 2 connait une progression fulgurante, qui s’explique en grande partie par la progression tout aussi fulgurante de l’excès de poids dans le monde. C’est que l’excès de poids représente le principal facteur de risque de développer un diabète de type 2. L’adoption d’un mode de vie sain permettrait d’éviter 80 % des cas de diabète de type 2. Mieux manger et bouger plus, voilà bien qui concerne toute la famille !

10 repères alimentaires pour toute  la famille

Les objectifs nutritionnels poursuivis en cas de diabète de type 2 sont également profitables à l’ensemble des membres de la famille. La réduction des sucres ajoutés est bien entendu un objectif important. Selon les préférences, les édulcorants basses calories peuvent permettre de conserver une saveur sucrée tout en réduisant les sucres ajoutés et les calories qui sont associées. Mais mieux manger, c’est aussi manger plus de certains aliments intéressants d’un point de vue nutritionnel :

  • Légumes et fruits
  • Céréales complètes
  • Noix et graines
  • Légumes secs (ou légumineuses)

Du côté des boissons, l’eau et les boissons non sucrées sont à privilégier. Enfin, le contexte dans lequel les repas sont préparés et pris a son importance : cuisiner des produits non transformés, partager le repas ensemble, à table, dans le calme (sans écran), sans précipitation et en mâchant bien la nourriture, voilà qui permet de mieux quantifier mais aussi apprécier ce que l‘on mange, et ainsi de mieux percevoir les signaux de la satiété!

Découvrez ici l’infographie « Diabète & famille » avec 10 repères alimentaires!

 Le mot de Dominique Antoine, Présidente du Conseil diététique de l’Association Belge du Diabète

Cette année le thème de la journée mondiale du diabète nous permet de remettre la personne diabétique à sa place ! Au centre de sa famille !

Les repères alimentaires listés dans l’infographie sont les bases d’une alimentation saine et équilibrée qui conviennent à toute la famille sur le plan de la prévention mais également pour la personne diabétique lorsque la maladie s’est installée.  Plutôt que d’enfermer la personne diabétique dans un « ghetto » alimentaire, prenons-la comme modèle. Plutôt que de nous focaliser sur l’interdiction des sucres raffinés / ajoutés, ayons une vision plus globale, plus raisonnable et raisonnée  de ces premiers médicaments que sont les aliments.

Plus d’information sur l’Association Belge du Diabète : www.diabete-abd.be

Plus d’information sur la journée mondiale du diabète : https://www.worlddiabetesday.org/

Tarte tatin aux prunes

Une tarte réconfortante pour les journées d’automne, facile à réussir, même sans sucres ajoutés! Découvrez les nouvelles astuces d’Everyday Marta !

Ingrédients (pour 6 personnes)

  • 6 grosses prunes
  • 75 g de beurre
  • 50 g de poudre de sucralose cristallisée (= 100 g de sucre)
  • 1 rouleau de pâte feuilletée prête à l’emploi

Préparation

  • Préchauffer le four à 180°C.
  • Dénoyauter les prunes et les couper en quartiers.
  • Faire fondre le beurre dans une poêle. Y ajouter la poudre de sucralose et faire caraméliser. Déposez ensuite les morceaux de prunes dans la poêle et les faire cuire 3 minutes.
  • Verser les prunes et le caramel dans le fond du moule à tarte ; bien répartir sur toute la surface. Recouvrir de la pâte feuilletée en rentrant les bords le long des parois du moule. Presser délicatement.
  • Faire quelques trous dans la pâte avec une fourchette avant d’enfourner pour 30 à 35 minutes.
  • Sortir la tarte du four et laisser refroidir un peu. Poser un support bien plat (assiette ou plateau) au-dessus du moule à tarte avant de le retourner pour démouler la tarte Tatin et faire apparaître les prunes.

Valeur calorique par portion  = 283 kcal

17 g de sucres en moins (qu’une version sucrée)

Téléchargez ici la recette!

 

Des questions sur le diabète ? Un poids sain relève du défi ? Ou tout simplement besoin d’inspiration pour manger moins sucré ?