FAITES LE TEST !

Néohespéridine DC (E959)

La néohespéridine DC a un pouvoir sucrant 400 à 600 fois supérieur à celui du sucre ordinaire (saccharose). Sa valeur énergétique est de 2 kcal/gramme, ce qui est négligeable compte tenu de la quantité infime requise pour obtenir un même goût sucré.

Glycosides de stéviol ou stévia (E960a – E960c)

La stévia est utilisée en Amérique du Sud depuis des siècles. Les glycosides de stéviol (ou stéviosides ou rebaudiosides) extraits de la stévia ont un pouvoir sucrant 200 à 300 fois supérieur à celui du sucre (saccharose) pour une valeur calorique nulle. L’édulcorant à base de stévia contient ces extraits de la feuille de stévia (E960a) ou est obtenu par modification enzymatique de ces extraits (E960c).

Cyclamate (E952)

Le cyclamate a un pouvoir sucrant 30 à 50 fois supérieur à celui du sucre (saccharose) et une valeur calorique nulle. L’édulcorant a été découvert en 1937 aux États-Unis et est approuvé depuis lors dans plus de 50 pays. Il s’agit d’un sel de sodium de l’acide cyclamique.

Aspartame (E951)

L’aspartame est probablement l’édulcorant qui a été le plus étudié. Il a un pouvoir sucrant environ 200 fois plus élevé que le sucre (saccharose) et une valeur calorique de 4 kcal/gramme. Dans l’organisme, il est dégradé en composés que l’on retrouve dans une alimentation courante.

Acésulfame K (E950)

L’acésulfame-K ou acésulfame potassium fait partie des édulcorants basses calories. Son pouvoir sucrant est environ 200 fois plus élevé que le sucre de table (saccharose). Il n’apporte pas de calories et est souvent utilisée en remplacement du sucre.

La sécurité de l’aspartame une nouvelle fois confirmée

L’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) vient de conclure, dans son avis final, que l’aspartame est sûr pour la consommation humaine. Cet avis est fondé sur un travail d’envergure inédit qui permet de lever toute ambiguïté quant à la sécurité de l’aspartame. La Dose Journalière Acceptable (DJA) reste inchangée.

La sécurité des glycosides de stéviol reconfirmée

Il y a quelques temps, des articles ont été publiés dénonçant un risque que les glycosides de stéviol puissent affecter le matériel génétique des cellules (= effet génotoxique), ce qui a incité deux instituts de recherche américains à réexaminer de manière critique toute la littérature disponible sur ce sujet.

Des questions sur le diabète ? Un poids sain relève du défi ? Ou tout simplement besoin d’inspiration pour manger moins sucré ?